Fanny Rebecca Pereire (1825-1910) écrit à Barye le 21 février 1862 à propos d’un candélabre qu’elle a acquis mais qui n’est pas fixé à son socle et qui menace de tomber. Il semble qu’elle ait déjà été cliente du sculpteur à en croire une lettre de Charles Séchan la mentionnant à propos d’une pendule (1857).