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Louis Amédée Eugène Achard (1814-1875), romancier et dramaturge. Quatre lettres de lui à Barye ont été vendues par Amélie Krantz à Gustave Pellet.
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Alexandre le Grand (356-323 av. J.-C.), roi de Macédoine, est l’une des figures les plus célèbres de l’Antiquité.
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Arsène Alexandre (1859-1937), critique d’art, collectionneur et inspecteur général des musées. Il est l’auteur d’une monographie sur Barye, éditée dans la collection « Les Artistes célèbres », en 1889.
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Étienne Arago (1802-1892), dramaturge et homme politique.
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Jean-Jacques Arnoux (1792-1866), éditeur et rédacteur pour le journalLa Patrie. Ami de Barye, une de ses lettres figure dans les collections patrimoniales de l’INHA.
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Jean Jacques Nicolas Arveuf-Fransquin (1802-1875) est un architecte particulièrement actif dans la région de Reims. Ses lettres indiquent qu’il a travaillé avec Barye à la confection d’un service commandé par la famille Rothschild.
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Adolphe Asseline (1806-1891) est un conseiller royal notamment au service du duc d’Orléans, pour lequel Barye réalise plusieurs œuvres. Asseline intervient, entre autres, pour la commande du surtout du duc d’Orléans.
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Édouard Baldus (1813-1856) est un peintre et photographe prussien, naturalisé français. Il est mentionné comme ayant travaillé sur le projet de la statue équestre de Napoléon Ier, réalisée par Barye.
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Roger Ballu (1852-1908), homme politique et écrivain, auteur d’une biographie de Barye intitulée L’Œuvre de Barye, publiée en 1890.
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Ferdinand Barbedienne (1810-1892) est un industriel spécialisé dans l’édition et la diffusion de bronzes d’art. Il signe des contrats avec les grands sculpteurs de son temps et grâce à un procédé de réduction qui fait son succès, il édite les œuvres d’art en petites dimensions et les vend aux particuliers. Il signe notamment un contrat avec Barye dont il est relativement proche puisqu’il continue d’écrire à sa veuve après la mort de celui-ci afin de faire reconnaître l’œuvre du sculpteur.
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Désiré-Albert Barre (1818-1878), peintre, dessinateur et médailleur. Il entre à l’École des beaux-arts en 1838 où il devient élève de Paul Delaroche.
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Paul Barroilhet (1810-1871) est un baryton célèbre sous la monarchie de Juillet. Ami de Barye, il le met en contact avec de potentiels acheteurs.
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Antoinette Louise Barye (1840-1895) est l’une des filles de Barye et d’Amélie Antoinette Houdart. Née le 18 août 1840, elle semble demeurer célibataire jusqu’à sa mort, le 5 mars 1895, dans le 15e arrondissement de Paris.
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Georges Camille Charles Barye (1842-1895) est l’un des fils de Barye et d’Amélie Antoinette Houdart. Né le 8 juillet 1842, il suit les traces de son père et devient ciseleur, bien qu’il soit également mentionné comme chanteur et artiste lyrique. Le 22 novembre 1883, il épouse Armantine Claudine Hopner, lingère, dans le 14e arrondissement de Paris. Il décède à leur domicile, au 25 rue Thibault, le 29 juin 1895.
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Georgine Virginie Henriette Barye (1844-1923) est l’une des filles de Barye et d’Amélie Antoinette Houdart. Elle naît le 8 août 1844. Le 24 juillet 1878, elle épouse Eugène François Vildieu, date à laquelle elle est mentionnée comme artiste-peintre. Elle décède quelques jours avant d’être inhumée le 13 juin 1923 au cimetière du Montparnasse, à Paris.
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Louis Hippolyte Barye (1806-après 1879) est le frère cadet de Barye, lui aussi fils de Pierre Barye et Marguerite Claparede. Né le 7 juin 1806 à Paris, il embrasse la même carrière que son père, bijoutier de profession. En 1873, il est mentionné comme demeurant au 8 rue de Birague à Paris et décède probablement après 1879.
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Jeanne Marie Barye (1851-1930) est la fille benjamine de Barye et d’Amélie Antoinette Houdart. Née le 5 septembre 1851, elle épouse Étienne Pierre Luzeau, employé à la Caisse d’épargne de Nantes, le 24 octobre 1878 à Paris. Elle s’éteint le 15 février 1930 à Colombes.
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Louis Alfred Barye (1839-1895) est l’un des fils de Barye et d’Amélie Antoinette Houdart. Il naît le 21 janvier 1839. Comme son père, il embrasse la carrière de sculpteur et s’établit dans le 14e arrondissement de Paris. Il se marie une première fois le 26 mars 1868 à Marie Isabelle Berger, puis une seconde fois, le 12 juillet 1888, avec Pauline Caroline Allard. Il décède le 13 mai 1895 à son domicile au 9 rue Montbrun, à Paris
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Marie Louise Barye (1805-1873) est la fille de Pierre Barye et de Marguerite Claparede et donc la sœur de Barye. Elle naît le 6 janvier 1805 dans la paroisse de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
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Marie Louise Barye (1836-1915) est l’une des filles de Barye et d’Amélie Antoinette Houdart. Elle naît le 5 septembre 1836 à Paris. Le 12 septembre 1857, elle épouse Jean Antoine Krantz, dans l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Elle est d’ailleurs mentionnée comme lingère à cette occasion. Elle décède le 1er décembre 1915, à son domicile de Bois-Colombes.
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Théophile Bascle (1824-1882) est un marchand de vin bordelais et collectionneur, particulièrement des œuvres du peintre Johann-Barthold Jongkind. Il possède aussi quelques œuvres de Barye.
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Émile Baudement (1816-1863) est professeur de zoologie appliquée à l’agriculture et à l’industrie au Conservatoire. Il échange avec Barye dans les années 1850 notamment au sujet de dessins réalisés pour le ministère de l’Agriculture, du Commerce et des Travaux publics.
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Jean-Hilaire Belloc (1786-1866), peintre. Dans une lettre de 1833, il demande à Barye de passer le voir pour affaires.
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Jean-Jacques Berger (1790-1859), homme politique. Il est successivement député, préfet de la Seine puis sénateur. Dans une lettre, il convie Barye à une soirée officielle donnée à l’Hôtel de Ville, le 10 décembre 1850.
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Augustin Besse est le fondateur et propriétaire de la société Besse & Cie, magasin de vente de bronzes d’art situé rue Blanche, à Paris. La société était l’un des deux lieux de dépôt des œuvres de Barye lorsque celui-ci était associé à Émile Martin.
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Louis-Edouard Besson (1783-1865), homme politique. Il est président du conseil municipal de Paris entre 1834 et 1848. Barye le sollicite dans le but d’orner la place Louis XV (aujourd’hui place de la Concorde) de quelques groupes d’animaux.
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Louis Adolphe Beugniet (1821-1893) est d’abord encadreur à Paris, puis marchand d’art. Barye lui commande en 1872 un cadre pour une aquarelle qu’il souhaite offrir à Alfred Bruyas.
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Martin-Guillaume Biennais (1764-1843) est un orfèvre très en vogue durant la première moitié du XIXe siècle. Il participe notamment à la réalisation de la couronne du roi de Bavière et au nécessaire de voyage de Napoléon Ier puis du Tsar Alexandre Ier.
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Charles Jean Binder (1819-1891), carrossier et collectionneur d’art, notamment d’œuvres des peintres de l’école de Barbizon, ainsi que de Barye.
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Charles Blanc (1813-1882) historien, critique d’art et graveur. Il est également membre de l’Académie française et de l’Académie des beaux-arts.
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Guillaume Abel Blouet (1795-1853), architecte. Il travaille notamment en collaboration avec Barye dans les années 1830 sur le projet de l’Arc de Triomphe de la place de l’Étoile. Barye est initialement chargé, avec Alexandre Falguière et Pierre-Jean David d’Angers, d’élaborer un groupe monumental devant couronner le monument, projet qui n’a jamais abouti.
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Louis-Honoré Boquet (1786-1860) est un monteur et ciseleur en bronze travaillant à la manufacture de Sèvres. Il est notamment intervenu dans l’élaboration du coffret de la tabatière de Louis XVIII sous la direction d’Alexandre Brongniart, directeur de la manufacture de 1800 à 1847. Ce dernier adresse une lettre à Barye en 1834 au sujet d’une tête de tigre que le sculpteur réalise à sa demande. Il lui recommande Boquet pour insérer cette tête au sein d’une pièce d’ornement.
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Edmond Marie Félix de Boislecomte (1849-1922), peintre de genre, d'histoire et biographe originaire d’Arras.
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Antoine-Louis Boissière (1790-1851) est un homme politique ancien officier du génie, corps militaire auquel Barye appartient dans sa jeunesse. D’après les lettres échangées avec le sculpteur, il lui aurait notamment servi d’intermédiaire auprès de clients. Une lettre indique également qu’il aurait aidé Barye dans l’aménagement de l’un de ses ateliers, peut-être en sa qualité de député, fonction qu’il occupe de 1834 à 1837.
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Léon Joseph Florentin Bonnat (1833-1922) est peintre et collectionneur d’art. Sa collection comporte quelques œuvres sculptées de Barye, comme en témoigne une liste d’œuvres présente dans les papiers conservés à l’INHA (166/1/5/001/01/08).
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François-Joseph Bosio (1768-1845) est un sculpteur monégasque. Barye entre dans son atelier en décembre 1816 après avoir fréquenté l’atelier de l’orfèvre Bicunais.
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Aristide Boucicaut (1810-1877) est un entrepreneur et homme d’affaires. Son nom figure dans la vente après décès d’Antoine-Louis Barye en 1876.
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William Bouguereau (1825-1905) est un peintre particulièrement célèbre dans la seconde moitié du XIXe siècle. Dans une lettre de 1874, il demande à Barye de venir visiter son atelier afin d’apprécier ses peintures. Cette demande, émanant pourtant d’un artiste reconnu, souligne la réputation de Barye, qui décède l’année suivante.
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Henri Bouilhet (1830-1910) est un ingénieur, chimiste et industriel. Lorsqu’il travaille pour la maison Christofle, il met au point la technique de la galvanoplastie. Il est possible que Barye l’ait rencontré, peut-être lorsqu’il travaillait chez Fauconnier.
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Louis Boulanger (1806-1867) est peintre, graveur et lithographe. Élève de l’École des beaux-arts, il s’inscrit dans la tendance romantique. Il cultive une correspondance artistique avec Barye. La lettre du 10 janvier 1835 conservée à l’INHA (166/1/2/015/01) est probablement celle mentionnée par Amélie Krantz-Luzeau dans une autre lettre du fonds (166/1/4/001/02/01)
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Hector Brame (1831-1899), collectionneur d’art et galeriste. Le 6 juillet 1865, il épouse Joséphine Templaere avec qui il aura deux enfants. La maison H. Brame, située rue Taitbout à Paris, est propriétaire de nombreux bronzes de Barye.
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Jacques Raymond Brascassat (1804-1867) est peintre et aquafortiste. Ami de Barye, ce dernier est invité à diverses reprises à se rendre chez lui pour dîner, souvent en compagnie d’Alexandrine de Bazaine.
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Isidore Hippolyte Brion (1799-1863) est un sculpteur et ami de Barye. Tout comme lui, il intègre l’École des beaux-arts et se forme dans l’atelier de Bosio.
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Alexandre Brongniart (1770-1847) est un scientifique spécialisé en minéralogie et directeur de la manufacture de Sèvres. Il semble qu’il ait commandé une tête de tigre à Barye à destination d’une pièce d’ornement, comme en témoigne une lettre de 1834.
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Léon Brothier (1803-1870), philosophe, auteur et rédacteur de la Revue philosophique. Le titre de l’un de ses ouvrages, Histoire de la terre, est inscrit au dos d’une lettre envoyée par Ange-Louis-Guillaume Lesourd de Beauregard à Barye, en 1862.
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Philippe Burty (1830-1890) artiste, critique d’art et collectionneur. Il est propriétaire d’une œuvre de Barye, une lithographie exposée lors de l’exposition posthume à l’École des beaux-arts en 1889.
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Alexandre Cabanel (1823-1889) est un peintre du courant académique sous le Second Empire.
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Auguste Cain (1821-1894), sculpteur animalier. Collègue et ami de Barye, il étudie comme lui l’anatomie animale en dessinant au Jardin des Plantes. Les deux artistes se côtoient notamment lors de dîners en société.
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Antonio Canova (1757-1822), sculpteur et peintre vénitien. Lauréat de plusieurs prix, son œuvre s’inscrit dans la veine néo-classique.
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Pierre Cartellier (1757-1831) est un sculpteur reconnu de la première moitié du XIXe siècle. Daniel Ducommun du Locle évoque son rôle de professeur à l’École des beaux-arts dans les quelques lignes qu’il rédige à propos de Barye et qui sont conservées à l’INHA.
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Jules Cassagneau de Saint-Amour (1800-1861), homme politique. Conseiller municipal de Saint-Omer dans l’ancien Pas-de-Calais, il écrit à Barye en 1828 à propos d’œuvres que celui-ci a visiblement promis de lui faire don pour le musée de la ville.
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Edmond Cavé (1796-1852), haut fonctionnaire et écrivain. Il dirige la division des beaux-arts pour le ministère du Commerce et des Travaux publics dans les années 1830. C’est notamment lui qui annonce à Barye sa nomination comme chevalier de la Légion d’honneur en 1839. Il est également impliqué dans le projet du couronnement de l’Arc de l’Étoile, ses échanges avec Barye sont donc nourris.
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Benvenuto Cellini (1500-1571), artiste florentin de la Renaissance. Artiste complet, il est dessinateur, graveur, sculpteur et médailleur et auteur de nombreuses œuvres littéraires. Barye a sans doute possédé un exemplaire de ses mémoires.
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Alfred Censier (1815-1877) est un peintre lié au groupe de Barbizon que Barye fréquente assidument. La correspondance du sculpteur comporte une lettre de Censier renfermant elle-même une lettre de Narcisse Díaz de la Peña remerciant Barye d’avoir exécuté un médaillon pour son défunt fils.
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Théodore Chassériau (1819-1856) peintre français. Ami de Barye, il lui demande dans une lettre de 1856 de veiller sur une élève, Valentine de Chaponay, qui suit son cours de morphologie animale au jardin des Plantes.
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Antoine Chazal (1793-1854), peintre et graveur français. À l’instar de Barye, il est professeur de dessin au Museum d’histoire naturelle et également chevalier de la Légion d’honneur depuis 1838.
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Claude-Aimé Chenavard (1798-1838), dessinateur et peintre ornemaniste. À partir de 1834, il s’attelle à la réalisation du surtout de table pour le duc d’Orléans, avec Barye et Jean Feuchère.
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Paul Chenavard (1807-1895), peintre. Admis à l’École des beaux-arts, il est élève dans l’atelier d’Eugène Delacroix. Ami proche de Barye, les deux hommes semblent avoir des échanges réguliers à propos d’affaires artistiques comme pour des dîners plus amicaux.
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Auguste Chéramy (1840-1912), avoué et collectionneur d’art. Il possède des œuvres de Barye, comme un Tigre couché sur le dos qui fait partie d’une vente des œuvres du sculpteur en 1875, année de sa mort.
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Jules Claretie (1840-1913), romancier, dramaturge, historien et chroniqueur de la vie parisienne. En 1876, dans L’Art et les artistes français contemporains, il écrit un article sur Barye qu’il reprend dans la deuxième publication de son ouvrage, en 1882-1884.
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Auguste Clésinger (1814-1883), sculpteur et peintre romantique. Mécontent que certaines de ses œuvres aient été dissociées ou tronquées, il intente un procès au propriétaire de fonderie Ferdinand Barbedienne en 1866. En effet, l’artiste avait signé un contrat qui donnait beaucoup de libertés à l’industriel. Barye est lui aussi sous contrat avec Barbedienne mais leurs relations demeurent toujours amicales. Dans une lettre, il fait d’ailleurs connaître son soutien au fondeur au moment du procès.
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Achille Collas (1794-1859), ingénieur, graveur et illustrateur. Il est notamment l’inventeur d’un procédé de réduction mécanique pour reproduire des objets sculptés. Il fonde avec Ferdinand Barbedienne la société Collas et Barbedienne, entreprise qui connaît un grand succès dans l’édition d’ouvrages en petites dimensions. Son procédé permet, entre autres, de faire entrer les œuvres de Barye dans les intérieurs bourgeois car celui-ci avait signé un contrat d’édition avec Barbedienne.
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Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), peintre et graveur, membre du groupe de Barbizon. Barye côtoie le groupe dans les années 1850 et réalise un certain nombre d’aquarelles et d’huiles sur toile.
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Charles Cottet (1863-1925), peintre et graveur. Il n’est a priori pas lié à Barye mais une liste des œuvres de l’artiste possédées par Léon Bonnat a été rédigée à la main au dos d’une invitation à l’exposition de Cottet à la galerie Georges Petit en 1911.
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Henri Courmont (1813-1891), haut fonctionnaire, chef de bureau à la surintendance des Beaux-Arts, sous l’autorité du surintendant général, le comte de Nieuwerkerke. Dans une lettre de 1866 adressée à Barye, il évoque une statue de Napoléon Ier, que le sculpteur se trouve dans l’impossibilité d’exécuter. Courmont semble avoir engagé sa responsabilité concernant cette commande et fait part à Barye de sa déception.
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Thomas Couture (1815-1879), peintre d’histoire français.
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Jean Cruveilhier (1791-1874), médecin, chirurgien et anatomiste français. Le titre de l’un de ses ouvrages, Éléments d’hygiène générale, est inscrit au dos d’une lettre destinée à Barye.
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Eugène Cuvelier (1837-1900), photographe. D’après un fascicule de vente, il semble avoir été l’acquéreur d’une sculpture de Barye éditée par la maison Barbedienne, un Tigre couché, en 1877.
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Georges Cuvier (1769-1832), anatomiste, promoteur de l’anatomie comparée. C’est notamment par le biais des collections de squelettes constituées par ses soins au Museum que Barye donne ses cours de dessin zoologique lorsqu’il y est professeur.
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Jules Dalou (1838-1902), sculpteur français.
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Jean-Pierre Dantan, dit Dantan le Jeune (1800-1869), sculpteur et caricaturiste. Connaissance de Barye, les deux hommes s’écrivent principalement au sujet d’affaires artistiques. Dans une lettre de 1848, Dantan recommande notamment un de ses mouleurs à Barye.
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Charles-François Daubigny (1817-1878), peintre rattaché au groupe des peintres de Barbizon que Barye a côtoyé dans les années 1850. Dans une lettre de 1860, Daubigny écrit à Barye et mentionne Corot, fondateur du groupe. Il semble que les artistes se retrouvaient régulièrement pour des dîners.
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Jean-Barthélémy Daumas (1815-1879), sculpteur, frère de Louis-Joseph Daumas. En 1867, Barye donne procuration à Daumas pour encaisser les sommes qui lui sont dues pour la réalisation de groupes sculptés pour le palais Longchamp, à Marseille.
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Louis-Joseph Daumas (1801-1887), sculpteur, frère de Jean-Barthélémy Daumas. Ils semblent avoir accompagné Barye lors de la réalisation des quatre groupes sculptés destinés au palais Longchamp, à Marseille. Le fonds des papiers Barye comporte plusieurs billets et procurations faites par Barye aux deux frères. Dans une lettre de 1867 adressée à la femme de Barye, Louis-Joseph Daumas relate le séjour du sculpteur à Marseille.
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Honoré Daumier (1808-1879), artiste et caricaturiste, ami de Barye.
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Adrien Dauzats (1804-1868), artiste orientaliste. Plusieurs échanges de lettres entre Barye et lui concernent des affaires artistiques et témoignent d’une amitié entre les deux hommes.
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David David-Weill (1871-1952), banquier, mécène et grand collectionneur d’art. Il semble qu’une épreuve unique d’un Élephant (1832) lui ait été cédée pour le musée du Louvre, d’après une annotation sur un document reprenant une liste d’œuvres de Barye vendues en 1875.
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Charles de Kay (1848-1935), écrivain, critique et escrimeur américain. Il publie Life and Works of Antoine-Louis Barye en 1889.
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Jean-Baptiste Joseph Debay (1802-1862), sculpteur. Comme Barye, il est un ancien élève de l’atelier de Bosio.
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Alexandre-Gabriel Decamps (1803-1860), peintre et graveur, figure majeure du romantisme. Connaissance de Barye, ils se retrouvent régulièrement lors de dîners entre artistes et gens de lettres.
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Pierre-Joseph Dedreux-Dorcy (1789-1874), peintre et ami d’Eugène Delacroix. Dans la correspondance conservée à l’INHA, ce dernier lui demande de montrer à Barye un tableau du peintre Antoine-Jean Gros.
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Henri Delaborde (1811-1899), peintre, critique d’art et conservateur. De 1874 à 1898, il est secrétaire perpétuel de l’Académie des beaux-arts. Le 28 juin 1875, jour des funérailles de Barye, il prononce un discours en hommage au sculpteur.
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Eugène Delacroix (1798-1863), peintre et ami de Barye. Ils échangent une riche correspondance. Ils vont notamment tous deux dessiner les animaux de la ménagerie du Jardin des Plantes. Delacroix, dans un billet resté célèbre (166/1/2/034/1), prévient Barye de la mort du lion de la Ménagerie afin qu’ils se hâtent d’aller le dessiner avant que son corps ne soit emmené.
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Victorien Delbergue-Cormont (1816-188 ?) est un commissaire-priseur qui a notamment procédé à une vente d’œuvres de Barye en 1858, à l’hôtel Drouot.
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Étienne-Jean Delécluze (1781-1863), peintre et critique d’art. Lorsqu’il aperçoit l’œuvre Un Tigre ayant surpris un crocodile et le dévore, modèle en plâtre du Tigre dévorant un gavial, présenté au Salon de 1831 par Barye, il la qualifie de « sculpture la plus forte et la meilleure du Salon ».
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Louis Joseph Delétrez (1841-1892), sculpteur français. Il est mentionné dans les notes personnelles de Barye pour avoir effectué des retouches sur des plâtres pour l’exposition des œuvres du sculpteur à Marseille en octobre 1846.
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Charles Desavary (1837-1885), peintre. Il est également secrétaire de la Société artésienne des amis des arts. Barye en est nommé membre honoraire et vend à la société un de ses bronzes.
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Antoine Desboeufs (1793-1862), médailleur et sculpteur. Il est notamment l’auteur d’une statue représentant un ange de la prédication, placée dans la nef de l’église Saint-Sulpice. Dans une lettre de 1851, il demande à Barye son avis au sujet de son œuvre.
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Louis Desnoyers (1802-1868), journaliste et écrivain. Il est notamment rédacteur au Charivari et fondateur de la Société des gens de lettres, en 1837.
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Ce nom apparaît dans une liste de dépenses pour l’exposition posthume des œuvres de Barye exposées à l’École des beaux-arts en 1875. Il s’agit d’un prestataire ayant loué un tourniquet.
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Émile Díaz (1836-1861), fils de Narcisse Díaz de la Peña. Il décède relativement jeune et Barye propose à son ami de réaliser le médaillon funéraire.
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Adolphe Napoléon Didron (1806-1867), archéologue. Dans une lettre écrite à Barye, il fait part de problèmes d’argent et lui demande conseil afin de trouver un prêteur pour le sortir d’embarras.
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Jacques-Augustin Dieudonné (1785-1873), sculpteur et médailleur. Comme Barye, il est passé par l’atelier de Gros et de Bosio.
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Joseph-François Domard (1792-1858), médailleur. Il obtient le deuxième prix de Rome en 1810.
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Le comte Armand Doria (1824-1896) fait l’acquisition de plusieurs œuvres de Barye dans la vente après décès de 1876.
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Joseph Eugène Dubois (1795-1863), médailleur.
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Claude-Marie Dubufe (1790-1864), peintre. Il invite Barye à dîner à plusieurs reprises, à Neuilly.
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Joseph-Louis Duc (1802-1879), architecte. Il est nommé inspecteur des travaux de la colonne de Juillet puis architecte à la mort de son prédécesseur, Jean-Antoine Alavoine. Dans une lettre du 29 juin 1835, Barye et lui sont conviés par Thiers, alors ministre de l’Intérieur, pour parler des sculptures de la colonne.
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Daniel Ducommun du Locle (1804-1884), haut fonctionnaire et artiste français. Dans une lettre à Barbedienne, écrite après la mort de Barye, il dit avoir régulièrement fréquenté ce dernier entre 1822 et 1830. Il a notamment été élève, comme lui, dans l’atelier de Bosio. Il livre une description relativement complète du caractère de Barye.
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Dulud
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Fondateur de la maison Dulud en 1850, spécialisée dans la reproduction de cuirs d’ameublement ancien.
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Alexandre Dumas (1802-1870), écrivain. Ami de Barye, il donne en 1833 un bal costumé resté célèbre, où de nombreux artistes, tels Barye et Delacroix, viennent décorer des pans de murs.
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Jules Dumesnil (1805-1891), publiciste, avocat et sénateur du Loiret. Dans une lettre du mois de décembre 1861, il invite Barye à un dîner qui sera présidé par Chenavard. Ces « séances du vendredi » reviennent régulièrement dans la correspondance de Barye. Il s’agit peut-être de réunions d’artistes.
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Augustin Dumont (1801-1884), sculpteur et auteur du Génie de la Liberté qui surmonte la Colonne de Juillet, monument pour lequel Barye a également travaillé.
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Henri Duponchel (1794-1868), architecte et metteur en scène. Dans une lettre d’Aimé Chenavard à Barye, il fait référence à une somme d’argent et à Mme de Rohschild. Duponchel est mentionné, or celui-ci aurait collaboré avec Camille Piron pour un projet d’hôtel particulier du baron James de Rothschild. Ce dernier connaissait l’œuvre de Barye et avait même fait l’acquisition d’une paire de candélabres, qu’il place au château de Ferrières.
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Jules Dupré (1811-1889), peintre paysager. Il fréquente le groupe des artistes de Barbizon, comme Barye. Corot, Millet, Díaz, Barye, Dupré et Daubigny avaient l’habitude de se réunir chez Théodore Rousseau, considéré comme l’un des fondateurs de « l’école ».
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Philippe Fortuné Durand (1798-1876), graveur et photographe. Lié d’amitié avec Barye, il lui écrit en 1844 pour lui demander de ses nouvelles car il a appris qu’il s’était cassé la jambe.
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Paul Durand-Ruel (1831-1922) est un marchand d’art. Il promeut notamment les artistes de Barbizon et officie comme expert au cours de plusieurs ventes d’œuvres de Barye.
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Antoine Durenne (1822-1895), fondeur d’art. Il a notamment fondu des œuvres de Barye.
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Francisque Duret (1804-1865), sculpteur, ancien élève de Bosio à l’instar de Barye.
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Constant Dutilleux (1807-1865), peintre, dessinateur et graveur. Admirateur des peintres de l’école de Barbizon, fréquentée par Barye, il est le beau-père de Charles Desavary. Ce dernier est le secrétaire de la Société artésienne des amis des arts, dont Barye est nommé membre honoraire. Plusieurs échanges entre Desavary et Barye sont conservés dans les papiers Barye de l’INHA.
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Pierre Duval le Camus (1790-1854), peintre et lithographe. Ami de Barye, il lui conseille un magasin de dépôt de bronzes à Lyon, pour que celui-ci puisse vendre ses œuvres. Il est l’un des rares scripteurs du fonds à tutoyer le sculpteur.
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Charles Duveyrier (1803-1866), dramaturge. En 1845, il fonde la Compagnie Générale d’Annonces qui deviendra plus tard la Société Générale des Annonces, une société spécialisée dans la régie de publicités pour la presse. D’après sa correspondance avec Barye, il est l’un des clients du sculpteur.
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Narcisse Díaz de la Peña (1807-1876) peintre, membre du groupe de Barbizon. Ami proche de Barye, les deux hommes se retrouvent en société à Barbizon ou à Fontainebleau et se rendent mutuellement visite dans leurs ateliers respectifs. Barye a vraisemblablement proposé de réaliser le médaillon funéraire pour le fils de Díaz de la Peña, disparu à un jeune âge.
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Albrecht Dürer (1471-1528), dessinateur, graveur et peintre allemand.
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Jean-Jacques Marie Carle Vita Elshoecht alias Carle Elshoecht (1797-1856), sculpteur. Condisciple de Barye dans l’atelier de Bosio, il est mentionné par des tiers à diverses reprises, bien que le fonds ne comprenne pas de lettres de lui.
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Henri-Jacques Espérandieu (1829-1874), architecte. Il a notamment réalisé le palais Longchamp, à Marseille, pour lequel Barye a réalisé des groupes sculptés.
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Eugène Farochon (1812-1871), sculpteur, ancien élève de David d’Angers. Barye et lui semblent avoir tous deux participé au concours des monnaies de la République en 1848.
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Jacques-Henry Fauconnier (1779-1839) est un orfèvre qui a notamment travaillé pour la duchesse d’Angoulême. Vers 1818, Barye intègre son atelier où il modèle des petites figures d’animaux. Fauconnier le charge notamment de la réalisation d’un cerf couché pour orner le dessus d’une soupière.
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Benjamin Fillon (1819-1881), magistrat, archéologue et numismate. Dans une longue lettre envoyée à Barye en 1859, il lui demande de réaliser un dessin pour un ouvrage qu’il est en train d’écrire sur les guerres de Vendée, Poitou et Vendée, en donnant de nombreux détails. David d’Angers ayant apparemment réalisé le frontispice, il souhaiterait qu’une œuvre de Barye lui fasse pendant.
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Edmond Fouché-Lepelletier (1809-1899), homme politique, un temps membre de la Chambre des députés et du Conseil général de la Seine.
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Charles Auguste Fourdrin (1804-1889), architecte. Il semble avoir participé à l’élaboration de l’exposition posthume en l’honneur de Barye, à l’École des beaux-arts en 1875, son nom étant mentionné dans une liste de dépenses.
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Fourier
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M. Fourier est un graveur sur acier pour qui Barye travailla dans ses jeunes années, jusqu’en 1813, qui était chargé de la fabrication des matrices pour les objets métalliques des costumes et équipements militaires.
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Denis Foyatier (1793-1863), sculpteur décoré, comme Barye, de la Légion d’honneur.
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Emmanuel Frémiet (1824-1910), sculpteur animalier. Proche de Barye par son sujet de prédilection, le monde animal, il n’a pourtant pas suivi l’enseignement de l’École des beaux-arts. Comme Barye, il travaille pour le Museum et ses œuvres sont reproduites et éditées par la maison Barbedienne.
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Adolphe Fumière (1830-1882), sculpteur belge. Il écrit à Barye en 1862 pour lui demander une lettre de recommandation pour un poste de professeur de sculpture d’art industriel qu’il brigue à l’Académie des beaux-arts de Bruxelles.
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Grigori Gagarine (1810-1893), prince russe, diplomate, militaire et mécène. Membre d’une des plus anciennes familles de Russie, il est mentionné dans une lettre de Fauconnier à Barye qui l’enjoint à se rendre en Russie, où son talent semble apprécié.
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Henri Garnier, expert et collectionneur de Barye dont les biens furent dispersés en 1894.
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Théophile Gautier (1811-1872), poète et romancier. Il exerce également le métier de critique d’art et commente les œuvres de Barye. Il écrit à propos du Lion au serpent « M. Barye est le premier à oser chez nous décoiffer les lions de cette perruque à la Louis XIV dont les statuaires les affublaient ; il leur a ôté de dessous les griffes cette grosse boule de marbre si ridicule ». Il souligne ainsi le réalisme des animaux de Barye, qui constitue une évolution stylistique certaine et qui fit son succès.
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Joseph Paul Raymond Gayrard (1807-1855), sculpteur et médailleur. Il est le fils de Raymond Gayrard ayant exercé la même activité. En 1858, Barye et Gayrard s’associent pour une vente à l’Hôtel Drouot.
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Antoine Genevay (1811-?), journaliste et critique d’art. Il est secrétaire de rédaction au Musée des Familles. Il préface le catalogue des œuvres de Barye qui sont exposées aux beaux-arts en 1875.
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Étienne Geoffroy Saint-Hilaire (1772-1844), naturaliste. Professeur de zoologie au Museum d’histoire naturelle, il enrichit considérablement, avec l’aide de Georges Cuvier, les collections de l’institution, celles-là même que Barye étudie pour ses sculptures.
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Eugène Gonon (1814-1892), fondeur. Fils d’Honoré Gonon, lui aussi fondeur réputé, il travaille notamment avec le sculpteur James Pradier et est cité par Gustave Flaubert comme un technicien de talent. Il fond plusieurs œuvres de Barye, dont le Centaure et Lapithe, le Lion au serpent. Il privilégie la technique de la fonte à la cire perdue, plus coûteuse mais plus précise que la fonte au sable.
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Honoré-Jean Gonon (1780-1850), fondeur. Son fils Eugène, également fondeur, travaille à plusieurs reprises avec Barye.
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Émile Gouget, sculpteur. Dans une lettre de 1867, Barye le mentionne comme l’un de ses élèves entre 1856 et 1857. Entré dans l’atelier de Barye, il officie vraisemblablement comme praticien comme en attestent plusieurs tenues de dépenses, entre 1866 et 1868.
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Albert Goupil (1840-1884), collectionneur et photographe. Son goût est plutôt orienté vers les œuvres de la Renaissance italienne et du Moyen-Orient, certainement influencés par ses voyages en Italie puis en Terre Sainte. Il possédait néanmoins quelques œuvres de Barye comme l’attestent deux listes d’œuvres du corpus.
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Antoine-Jean Gros, baron Gros (1771-1835), peintre. Barye se forme dans son atelier à partir de 1817.
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Baptistin Guilhermoz, neveu et exécuteur testamentaire de Paul Lacroix.
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Eugène Guillaume (1822-1905), sculpteur et critique d’art. De 1864 à 1878, il dirige l’École des beaux-arts de Paris. C’est donc sous sa direction que l’exposition posthume des œuvres de Barye se déroule. Dans une lettre à Alfred Bruyas du 29 décembre 1875, il le remercie pour son prêt de plusieurs aquarelles de Barye. Il entretenait certainement des relations amicales avec le couple Barye, sa veuve continue de lui écrire, elle raconte notamment une anecdote où Barye se fait faire la lecture tout en travaillant debout, comme à son habitude.
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Émile-Coriolan Guillemin (1841-1907), sculpteur. Il a recours au fondeur de Barye en 1849 pour deux bronzes qu’il réalise pour l’association des artistes peintres, sculpteurs, architectes, graveurs et dessinateurs. Par ailleurs, il collabore aussi avec son fils, Alfred Barye, sur un Cavalier arabe vers 1900 (musée d’Ocala, États-Unis).
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Julien-Michel Gué (1789-1843), peintre, dessinateur et aquarelliste. Barye et lui semblent faire partie d’un groupe de connaissances communes qui se réunit dans les années 1840 au cours de dîners.
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Théodore Géricault (1791-1824), peintre romantique. Il aurait dessiné des animaux de la ménagerie du jardin des Plantes, et aurait parfois été accompagné de ses cadets, Delacroix et Barye.
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Jean-Léon Gérôme (1824-1904) est un peintre particulièrement actif dans la seconde moitié du xixe siècle.
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Henry Havard (1838-1921), historien de l’art et inspecteur général des beaux-arts de 1887 à 1917.
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Lazare Hoche (1768-1797), militaire, général sous la Révolution française.
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Hector Horeau (1801-1872), architecte. Barye et lui sont amis comme en témoignent plusieurs invitations adressées au sculpteur, dont une l’invitant à une soirée costumée « à l’orientale », le 23 juin 1843.
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Frédéric Amédée Joseph Houdart (1818-?), beau-frère de Barye, frère sa deuxième épouse, Amélie Antoinette Houdart.
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Paul Huet (1803-1869), peintre et graveur. Élève de Gros, comme Barye, il rencontre peut-être le sculpteur au salon de 1827 où ils exposent tous deux. Lorsque Barye fréquente Barbizon à la fin des années 1840, il y retrouve Paul Huet. Plusieurs lettres soulignent la proximité des deux hommes.
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Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867), peintre, ancien élève de Jacques-Louis David. Il remporte le prix de Rome en 1801. Il est reconnu comme un représentant de l’école privilégiant la primauté de la ligne et l’importance du dessin. Réputé pour ses portraits, il est nommé directeur de l’Académie de France à Rome, entre 1835 et 1842.
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Henri-Alfred Jacquemart (1824-1896), sculpteur animalier. Il suit un parcours similaire à celui de Barye, entre à l’École des beaux-arts et reçoit la Légion d’honneur en 1870. Son art bénéficie lui aussi du développement de la sculpture en bronze d’édition : plusieurs de ses œuvres ont été éditées et reproduites par le fondeur Barbedienne.
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Georges Jacquot (1794-1874), sculpteur. Entré à l’École des beaux-arts en 1813, il reçoit aussi une formation d’ornemaniste puis devient élève de Gros et de Bosio, tout comme Barye.
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Louis Godefroy Jadin (1805-1882), peintre animalier, paysagiste. Élève d’Alexandre-Gabriel Decamps et ami intime d’Alexandre Dumas, il est aussi un ami proche de Barye. Jadin lui écrit à Barye en 1862 à propos d’un buste de Decamps, mort deux ans plus tôt, réalisé par Carrier. Il semble que les deux hommes, amis de Decamps, aient aidé à superviser l’installation du monument en hommage au peintre romantique, bien que le choix du buste par la commune leur semble modeste.
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Jean-Louis Jaley (1802-1866), sculpteur et médailleur. Le 14 juillet 1866, Barye écrit une lettre qu’il adresse à l’Académie des beaux-arts pour candidater à la succession du siège occupé par Jaley, alors décédé. Ce dernier avait lui-même repris le siège de David d’Angers.
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Gabriel-Jules Janin (1804-1874), écrivain et critique dramatique. Il a écrit au sujet de Barye dans Le Magasin pittoresque.
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Philippe-Auguste Jeanron (1808-1877), artiste et essayiste. En 1848, il est nommé à la direction générale des musées nationaux et confie, à cette occasion, les peintures du plafond de la galerie d’Apollon du Louvre à Eugène Delacroix. Il a des échanges épistolaires professionnels avec Barye lorsque celui-ci devient conservateur du musée des plâtres et moulages, au Louvre, entre 1848 et 1850.
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Alfred Johannot (1800-1837), peintre et graveur. Il semble avoir échangé quelques lettres avec Barye mais ces dernières ne sont pas conservées dans le fonds.
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Tony Johannot (1803-1852) est un artiste, frère d’Alfred Johannot, artiste également, qui est un correspondant ponctuel de Barye.
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Jean Antoine Krantz (1829-1871), époux de Marie Louise Barye, l’une des filles du sculpteur. Le couple se marie le 12 septembre 1857 dans l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris et donne naissance à un enfant : Amélie Krantz, personnage déterminant dans l’histoire des papiers de l’INHA.
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Gilbert du Motier, marquis de La Fayette (1757-1834), officier et homme politique français.
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Théodore Labourieu (1822-1889), écrivain, membre de la Société des gens de lettres. Il est le fondateur et le directeur de la revue L’art du xixe siècle. Dans une lettre du 18 décembre 1859, il sollicite une souscription de Barye.
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Paul Lacroix (1806-1884), auteur. En 1842, il fonde L’Alliance des arts avec Théophile Thoré, qui est un correspondant de Barye.
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Georges Lafenestre (1837-1919), poète, critique et historien d’art. Lors de la vente posthume d’œuvres de Barye de 1876, il achète pour le musée du Louvre où il est conservateur plusieurs bronzes, principalement des fauves.
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Théodore Laffitte (vers 1816-1875), artiste de l’école de Barbizon. Il remercie Barye dans une lettre de 1869 pour l’envoi d’une de ses aquarelles.
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Eugène Lami (1800-1890), artiste, peintre et décorateur. À l’instar de Barye, il fréquente l’atelier de Gros à l’École des beaux-arts. Il semble qu’il ait encouragé Barye à proposer un groupe pour faire pendant aux Chevaux de Marly de Guillaume Coustou, sur la place de la Concorde.
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Constant Le Gentil (1819-1901), avocat, critique et amateur d’art arrageois, est probablement lié à Barye par le biais de Constant Dutilleux, fondateur de la Société artésienne des arts. C’est grâce à ce dernier qu’il acquiert en 1862 un Saint Michel réalisé par Delacroix. Ses échanges avec Barye laissent supposer qu’il a également fait l’acquisition d’œuvres du sculpteur, notamment un candélabre.
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Armand Le Véel (1821-1905), sculpteur. En 1852, le conseil municipal de Cherbourg le charge de réaliser une statue équestre de Napoléon, inauguré en juillet 1858 mais la consécration attendue par Le Véel ne vient pas et la Légion d’honneur, pourtant espérée, ne lui est pas remise. Il est finalement décoré en 1863. Cette même année, il écrit à Barye pour le remercier de son soutien lors de l’épisode délicat de l’inauguration de sa statue.
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Émile Gustave Leblanc-Barbedienne (1849-1945), fondeur. Il prend la succession de son oncle Ferdinand Barbedienne. Affilié à ce dernier par sa mère, il porte d’abord le nom de Leblanc et y accole bientôt celui de Barbedienne pour poursuivre l’activité familiale. Il échange avec André Schoeller, marchand d’art, à propos de modèles de Barye qu’il posséderait encore dans ses ateliers.
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Jules Ferdinand Leblanc-Barbedienne (1882-1961), fondeur. Il prend la suite de son père, Gustave Leblanc-Barbedienne, à la tête de la maison qui a édité les bronzes de Barye. Il échange également avec André Schoeller, marchand d’art, à propos de modèles de Barye qu’il posséderait encore dans ses ateliers.
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Anne Charles Lebrun, duc de Plaisance (1775-1859), général français de la Révolution et de l’Empire.
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Georges Lecomte (1867-1958), romancier et dramaturge. Également journaliste, il collabore notamment avec Le Figaro et Le Matin. Il échange avec Gustave Pellet au sujet d’Amélie Krantz, petite-fille de Barye. Celle-ci a vendu une partie de la correspondance de son grand-père, probablement par manque d’argent. Lecomte confirme, dans l’une des lettres de l’INHA, ces difficultés financières.
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François Joseph Lefebvre (1755-1820), officier général français, maréchal d'Empire.
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Hector-Martin Lefuel (1810-1880), architecte. Chargé de continuer les travaux du Louvre après la mort brutale de Louis Visconti, il commande à Barye le groupe en pierre de La Guerre pour le pavillon Richelieu, ainsi que L’Ordre pour le pavillon Denon. Il échange à ce sujet une abondante correspondance avec Barye dans les années 1850-1860.
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Henri Lehmann (1814-1882), peintre d’origine allemande. Dans une de ses lettres à Gustave Pellet, la petite-fille de Barye dit détenir une lettre de Lehmann adressée à son grand-père.
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Henri Lemaire (1798-1880), sculpteur et homme politique. En 1821, il est lauréat du grand prix de Rome avec son bas-relief Alexandre dans la ville des Oxydraques, passant ainsi devant Barye. Il est aussi l’auteur du bas-relief du Jugement dernier pour le fronton de l’église de la Madeleine, pour laquelle Barye réalise une Sainte Clotilde.
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Madeleine Lemaire (1845-1928) est une peintre qui succède à Ange-Louis-Guillaume Lesour de Beauregard en tant que professeur de dessin floral au Jardin des plantes.
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Albert Lenoir (1801-1891), artiste, archéologue et historien. Nommé secrétaire perpétuel de l’École des beaux-arts en 1862, il s’occupe des comptes de l’exposition posthume des œuvres de Barye en 1875.
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Charles Lenormant (1802-1859), archéologue et numismate. Frappé par le réalisme de l’œuvre de Barye, il commente ainsi le Lion au serpent exposé au Salon de 1833 : « Plus je revoyais le Combat du lion et du serpent, et plus l’impression augmentait ; il m’a semblé d’abord que le lion remuait : hier je l’entendais rugir ».
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Joseph Hippolyte Lequeutre (1793-1877), artiste. Dans une lettre de 1834, il informe Barye qu’il a intercédé en sa faveur auprès de Sosthènes de La Rochefoucauld. Ce dernier avait été nommé directeur général des beaux-arts, des théâtres royaux et des manufactures dix ans plus tôt, par Louis XVIII.
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Eustache Lesueur (1616-1655) est un peintre classique du XVIIe siècle, parfois surnommé le « Raphaël français ». A SUPPRIMER
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Guillaume Guillon Lethière (1760-1832), peintre. Il remporte le second prix de Rome en 1874 et il devient directeur de l’Académie de France à Rome en 1811.
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Il s’agit probablement de Michel Lévy (1809-1872), médecin-général. Il s’illustre dans l’armée française notamment pendant la compagne de Morée en 1834. Il mène une carrière brillante jusqu’à être nommé à l’Académie de médecine en 1850 puis directeur de l'École impériale d'application de la médecine et de la pharmacie militaires. Il a peut-être été en possession de quelques exemplaires de bronzes de Barye.
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Louis-Auguste Edmond Levêque (1814-1875), sculpteur. Il réalise quelques œuvres décoratives dont une paire de candélabres à trois lumières en bronze patiné et doré en collaboration avec Barye. Ce dernier est l’auteur des groupes d’enfants, les coupes et arrangements seraient de Levêque.
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Joseph-Alfred Liais (1802-1893), personnalité politique de la Manche. Il est maire de Cherbourg entre 1868 et 1875. En sa qualité de maire, il délivre un passeport pour l’intérieur à Barye et sa famille pour un trajet Cherbourg-Paris en 1871. Sous l’Ancien Régime et au XIXe siècle, les déplacements internes au territoire doivent être renseignés et autorisés, principalement pour éviter le vagabondage.
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Félix Liouville (1859-1947), homme politique. Avocat au ministère des Finances, il est député de la Seine de 1919 à 1924. Barye semble avoir fait appel à ses services juridiques. Dans une lettre du 10 janvier 1845, Liouville s’excuse auprès du sculpteur car son avoué a refusé que Barye paye l’avocat avec un de ses bronzes en guise d’honoraire. Ceci souligne plusieurs faits intéressants : premièrement que Barye n’a peut-être pas les moyens de payer l’avocat en numéraire mais que paradoxalement il est déjà assez connu pour que cet épisode soit vu par Liouville comme une faute à réparer.
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Louis-Philippe (1773-1850), dernier roi de France. Il règne de 1830 à 1848 sous le titre de « roi des Français ». En 1839, il attribue la Légion d’honneur à Barye qui devient chevalier de l’ordre. Dans une lettre du 18 août 1846, écrite par l’aide de camp du duc de Montpensier, le roi se montre satisfait de l’esquisse du Lion accroupi.
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Louis Ier (1838-1889), fils de la reine Marie II de Portugal et du roi consort Ferdinand II, roi du Portugal entre 1861 et sa mort. D’après une vente d’œuvres de Barye en 1875, le monarque possède dans sa collection plusieurs œuvres du sculpteur.
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Georges Bernard Lutz (1835-1901), amateur d’art et collectionneur de Barye.
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Charlemagne, du latin Carolus Magnus (vers 740-814), roi de France et empereur. Le sculpteur Armand Le Véel, ami de Barye, est l’auteur d’une statue équestre de Charlemagne, conservée au musée Thomas-Henry, à Cherbourg.
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Hippolyte Maindron (1801-1884), sculpteur. En 1840, il réalise un médaillon funéraire en bronze pour rendre hommage à Jean-Georges Eck, fondeur de Barye et membre du conseil municipal de Paris. Barye et lui font partie des sculpteurs qui réalisent des copies des mascarons du Pont Neuf lors de sa reconstruction au xixe siècle.
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Maurice Mallet (1853-1917), expert, collectionneur et marchand d’art. Il participe à la constitution de grandes collections de la fin du xixe siècle, notamment celle de Thomy Thierry qui fera l’objet d’une donation au musée du Louvre, collection qui comportait un grand nombre de bronzes de Barye. C’est d’ailleurs à ce titre qu’il est mentionné dans les papiers de l’INHA, comme propriétaire d’un Jaguar couché tenant une tête de cheval, un bronze ayant appartenu à Thomy Thierry puis légué à l’expert.
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Paul Mantz (1821-1895), historien de l’art. Il écrit notamment comme critique aux Salons et prend parti pour des artistes comme Théodore Rousseau et Eugène Delacroix. Il collabore avec plusieurs revues, comme L’Artiste dont il est rédacteur en chef de 1849 à 1852. En 1859, il est sollicité par Charles Blanc pour collaborer à La Gazette des beaux-arts pour laquelle il écrit plusieurs articles, sur Corot, Gleyre, Carpeaux, Courbet et Barye en 1867.
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Napoléon Joseph Hugues Maret, duc de Bassano (1803-1898) diplomate et homme politique. Une carte d’invitation officielle du duc est conservée dans le fonds de l’INHA, invitant Barye au palais des Tuileries.
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Marminia
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Sculpteur ayant été également un des praticiens d’Auguste Rodin.
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Auguste Frédéric Louis Viesse de Marmont, duc de Raguse (1774-1852) militaire, maréchal d’Empire et pair de France.
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Carlo Marochetti (1805-1867), sculpteur. Comme Barye, il a pour maîtres François Joseph Bosio et Antoine-Jean Gros. Les deux hommes correspondent surtout dans les années 1830, les lettres conservées sont en tous cas toutes de cette décennie et Marochetti écrit principalement à Barye pour lui demander des épreuves de bronzes de plusieurs de ses œuvres, pour lui ou pour des connaissances.
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Armand Martin est le fils de l’ingénieur, industriel et associé de Barye, Émile Martin.
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Pierre-Émile Martin (1824-1915), ingénieur et industriel français, fils d’Émile Martin, associé à Barye.
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Émile Martin (1794-1871), ingénieur et industriel. Il s’associe avec Barye entre 1845 et 1857 dans le cadre de la société Barye et Compagnie. Le contrat signé entre les deux hommes stipule qu’Émile Martin possède l’intégralité des droits de reproduction et de diffusion sur les bronzes de l’artiste. Au moment de la signature de la cessation du contrat, qui était en net faveur de l’industriel, Barye ne peut réclamer de droits que sur ses modèles originaux, le reste restant propriété d’Émile Martin.
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Louis Matout (1811-1888), peintre. Barye, Corot, Matout et Paul de Musset participent aux « vendredis » du café de Fleurus, dans le quartier du Luxembourg, rendez-vous célèbre des artistes au xixe siècle. Dans une lettre du mois d’octobre 1854, Paul Chenavard rappelle à Barye qu’il est attendu rue Montorgueil, chez le restaurateur Garnier, par Matout et Auguste Ottin, sculpteur. Ceci souligne le réseau professionnel et amical qui pouvait entourer un sculpteur à cette époque.
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Antonin Mercié (1845-1916), sculpteur. Son bas-relief Le Génie des arts (1877) remplace un Napoléon III de Barye sur les guichets du Carrousel du Louvre, en face au pont du Carrousel.
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Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni, dit Michel-Ange (1475-1564) est un sculpteur, peintre, architecte et poète florentin de la Renaissance.
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Aimé Millet (1819-1891), sculpteur, médailleur et peintre. Il réalise notamment le groupe Apollon, la Poésie et la Musique qui couronne l’Opéra Garnier, à Paris. Dans une lettre du 30 mai 1868, il félicite Barye pour sa nomination à l’Institut et lui demande de passer voir son groupe pour l’Opéra.
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Jean-François Millet (1814-1875), peintre de l’école de Barbizon. Il est donc lié à Barye, qui a fréquenté le groupe. Les deux familles semblent assez liées pour que les Millet informent les Barye du mariage de leur fille Marie avec un jeune homme du nom de Félix Feuardent, en 1871.
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Fleury Montagny (1760-1836), graveur ciseleur et médailleur.
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Isidore Montaignac (1851-1924), collectionneur et employé de la galerie Georges Petit.
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Morainville est le nom d’un élève de Barye. Ce dernier écrit une lettre le 4 juin 1852 au directeur du Louvre afin qu’il délivre une carte d’étude à son étudiant pour lui permettre d’accéder aux galeries.
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Édouard Mortier (1768-1835), duc de Trévise, militaire et homme d’État. Grand chancelier de la Légion d’honneur, c’est lui qui remet la précieuse distinction à Barye en 1833.
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Paul de Musset (1804-1880), homme de lettres, frère d’Alfred de Musset. Le 22 janvier 1856, il envoie deux places de théâtre à Barye pour la première de sa comédie en quatre actes, La Revanche de Lauzun.
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Pierre-Jules Mêne (1810-1879), sculpteur et ami proche de Barye.
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Charles-Louis Napoléon Bonaparte (1808-1873), homme d’État. Neveu de Napoléon Ier, seul président de la seconde République, il devient ensuite empereur des Français sous le nom de Napoléon III. Barye reçoit plusieurs commandes de lui sous le Second Empire et, de fait, de nombreux contacts, directs ou indirects, avec celui-ci.
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Napoléon Bonaparte (1769-1821), militaire et homme d’État, empereur de France sous le nom de Napoléon Ier. Barye réalise plusieurs statues commémoratives de l’empereur, notamment Napoléon Ier en empereur romain, le Monument à Napoléon Ier et ses frères pour Ajaccio et un monument pour la ville de Grenoble. Une anecdote raconte qu’alors qu’on lui avait passé commande d’un bas-relief orné de la tête de l’empereur, Barye se serait exclamé : « Encore Napoléon ! ».
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Adolphe Nourrit (1802-1839), ténor. Lui et Barye se connaissent et font partie d’une société commune, qui se réunit régulièrement quai des Orfèvres.
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Valérien Charles Louis de Noüe (1799-1874), militaire et homme d’État. Il travaille à la direction des travaux publics avant d’être nommé maître des requêtes au Conseil d’État en 1840. Il écrit à Barye en 1835 au sujet du bas-relief pour la colonne de Juillet.
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Auguste Ottin (1811-1890), sculpteur. Ami de Barye, il se rend en Italie avec Paul Chenavard et séjourne comme pensionnaire à la Villa Médicis.
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Nicolas Oudinot, duc de Reggio (1767-1847), homme militaire.
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Pagé, C.
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C. Pagé est un menuisier employé à l’occasion de l’exposition posthume des œuvres de Barye à l’École des beaux-arts en 1875.
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Théodore Daniel Pastoureau (1815-1874), homme politique, un temps préfet de l’Isère. Son nom est mentionné dans une lettre d’Henri Courmont adressée à Barye en 1866. En effet, c’est l’année où Barye se retire du projet de statue commémorative en l’honneur de Napoléon Ier qui devait être érigée à Grenoble. En 1861, le Conseil général souhaite commémorer le ralliement de la ville au chef de guerre revenu de l’île d’Elbe. Henri Courmont, secrétaire de la commission des Monuments historiques et directeur des beaux-Arts, avertit donc Daniel Pastoureau de la démission de Barye, en sa qualité de préfet, Grenoble faisant partie de la préfecture de l’Isère.
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Jean-Baptiste-Alexandre Paulin (1796-1859), journaliste, éditeur et libraire, cofondateur du journal L’Illustration. Il écrit à Barye le 4 juin 1841 au sujet de la publication d’un ouvrage sur le jardin des Plantes qui pose des difficultés. Une maison concurrente propose un projet similaire et un procès est en cours. Afin de prouver l’antériorité de son projet, Paulin demande à Barye de témoigner de sa sollicitation des années auparavant pour faire les illustrations du livre en question.
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Gustave Pellet (1859-1919), éditeur d’art. Il est le correspondant d’Amélie Krantz, petite-fille de Barye, lorsque celle-ci cherche à vendre la correspondance de son grand-père.
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Théophile-Jules Pelouze (1807-1867), chimiste. Essayeur de la monnaie en 1833, il est président de la commission des monnaies et médailles, à partir de 1848. La même année, Eugène Farochon écrit à Barye à propos d’un concours pour la commission et d’une lettre de réclamation adressée à Pelouze en sa qualité de président.
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Fanny Rebecca Pereire (1825-1910) écrit à Barye le 21 février 1862 à propos d’un candélabre qu’elle a acquis mais qui n’est pas fixé à son socle et qui menace de tomber. Il semble qu’elle ait déjà été cliente du sculpteur à en croire une lettre de Charles Séchan la mentionnant à propos d’une pendule (1857).
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Léon-Auguste Perronne (1846-1895), employé de profession, gendre de Barye. Originaire du Doubs, il épouse Antoinette Adélaïde Barye le 5 avril 1880, dans le 6e arrondissement. D’après une liste d’œuvres d’une vente de 1875, le couple Peronne-Barye possédait quelques œuvres du sculpteur.
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Georges Petit (1856-1920), galeriste et marchand d’art. Il vend notamment des aquarelles de Barye et possède dans sa collection personnelle des bronzes du sculpteur.
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Hippolyte Peyrol (1856-1929), sculpteur formé un temps auprès de Barye. Son nom figure à plusieurs reprises sur des listes d’œuvres associées à des noms de fondeurs, de collectionneurs et de divers acteurs du monde de l’art. Il est difficile de savoir si c’est en qualité de praticien ou de client qu’il apparaît.
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Euphemon Chasles Philarète (1798-1873), homme de lettre et journaliste. Il occupe également les fonctions de conservateur à la bibliothèque Mazarine à Paris. D’après une lettre d’Amélie Krantz, Barye et Chasles ont échangé au moins une lettre.
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Charles Philipon (1800-1862), dessinateur largement impliqué dans le monde de la presse et de la caricature. Il est successivement directeur de La Caricature, du Journal pour rire et du Charivari. Il fonde également la maison d’édition Aubert. Il écrit à Barye en 1850 à la suite de l’achat de l’un de ses bronzes.
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Frédéric-Eugène Piat (1827-1903), sculpteur et ornemaniste. Il écrit à Barye en 1862 pour le remercier de son soutien à son œuvre qui se compose d’une cheminée, d’un candélabre et de vases. Il s’agit vraisemblablement de la cheminée monumentale de style néo-grec présentée à l’Exposition universelle de Londres la même année. Piat s’est alors associé au marchand de bronzes d’art Louis Léon Marchand. Les deux hommes présentent cet ensemble, loué par la critique, dont Prosper Mérimée.
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Louis-Alexis Picard est avoué auprès du tribunal de première instance de la Seine. Il semble également avoir été l’avocat de Barye, comme cela est mentionné dans une lettre de Félix Liouville.
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Amédée Pichot (1795-1877), romancier, historien et traducteur. Il est rédacteur et directeur à la Revue de Paris.
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Charles Piet-Lataudrie (1837-1909), collectionneur. Son nom est mentionné dans une liste d’œuvres de Barye comme étant le possesseur d’une œuvre peu connue du sculpteur, un Paysan du Moyen Âge en bronze.
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Charles Pillet (1824-1887), commissaire-priseur. Il exerce à Paris et demeure au 10 rue de la Grange Batelière, près du faubourg Montmartre. C’est lui qui procède et officie lors de la vente posthume des biens et œuvres de Barye au mois de février 1876.
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Gustave Planche (1808-1857), critique littéraire. Ami de Barye, il fait partie de ses scripteurs les plus prolifiques. Ensemble, ils fréquentent les cafés parisiens, comme le café Coron, le café d’Orsay ou encore le café Cardinal, à l’angle de la rue de Richelieu et du boulevard des Italiens et refuge des artistes et des écrivains. Il publie en 1851 dans la Revue des deux mondes, où il est devenu collaborateur grâce à Alfred de Vigny, un article dans la rubrique « Peintres et sculpteurs modernes de la France » sur Barye, louant son talent. En 1840, après avoir reçu un héritage, il part pour l’Italie avec l’intention d’y vivre. De là-bas, il écrit à Barye une longue lettre en 1842 où il fait part de son enthousiasme intellectuel et artistique.
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Paulus Potter (1625-1654), peintre animalier néerlandais. Très apprécié et copié au xixe siècle, Barye s’est inspirée de ses œuvres pour certaines de ses aquarelles comme Taureau debout et vache couchée, vendue lors de la vente posthume de 1875.
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Nicolas Poussin (1594-1665), peintre et représentant du style classique.
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Pierre Puget (1620-1694), sculpteur. Dans son ouvrage Life and Works of Antoine-Louis Barye, Charles de Kay revient sur la médaille présentée par Barye au concours du prix de Rome en 1819. Ce dernier avait représenté Milon de Crotone. De Kay mentionne Puget car celui-ci avait également traité le même sujet entre 1671 et 1682, sur commande de Jean-Baptiste Colbert et à destination du château de Versailles.
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Alexandre Émile Pépin Lehalleur (1817-1879), avocat et un homme politique. Il est député de la Seine-et-Marne à partir de 1851. Il écrit à Barye en 1856 au sujet de son oncle et d’un dessin.
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Alexis Joseph Pérignon (1806-1882), peintre. Il semble avoir diffusé et vendu des bronzes de Barye car dans une lettre non datée, il se dit déçu du peu de succès rencontré par les œuvres, dont le prix de revient est très élevé. Il fait également part de difficultés financières.
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Charles Auguste Questel (1807-1888), architecte. Il est notamment chargé de l’exécution du piédestal pour la statue équestre de Napoléon Ier à Grenoble, il correspond avec Barye dans les années 1862-1863.
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Marcantonio Raimondi (v. 1480-v. 1534), orfèvre et graveur italien. Dans une lettre à Barye, Benjamin Fillon, archéologue, érudit et collectionneur, lui commande un dessin pour le frontispice d’un ouvrage. Il lui assure que l’œuvre sera placée en bonne place au sein de sa collection, entourée d’œuvres de Poussin, Raimondi, Lesueur ou encore Rembrandt.
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Pierre-Joseph Redouté (1759-1840), peintre, graveur et enseignant belge. Célèbre pour ses aquarelles de fleurs, il est surnommé le « Raphaël des fleurs ». En 1824, il est nommé professeur de dessin au Museum national d’histoire naturelle. Dans une lettre à Barye, Ange Louis Guillaume Lesourd de Beauregard le mentionne pour critiquer le salaire insuffisant versé aux professeurs par l’institution.
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Achille Ricourt (1797-1875), éditeur de lithographies. Il fonde le journal L’Artiste et est aussi très lié au monde du théâtre, comme le documente une lettre adressée à Barye.
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Léon Riesener (1808-1878), peintre. Cousin germain d’Eugène Delacroix, grand ami de Barye, les trois hommes se fréquentent et dînent, semble-t-il, souvent ensemble.
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Jacques Rivière (1886-1925), homme de lettres, directeur de la Nouvelle Revue française de 1919 jusqu’à sa mort. Son nom figure sur une enveloppe contenant la copie dactylographiée d’un article de Théophile Gautier sur Barye, qui fut peut-être édité par Rivière.
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Charles Robelin (1797-1887), architecte et sculpteur. Originaire de Nevers, il est un ami de Barye comme en atteste un billet de Robelin lui demandant de passer chercher le peintre Paul Huet pour un dîner impliquant du pâté de Chartres.
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Auguste Rodin (1840-1917), sculpteur. Dans sa jeunesse, Rodin dit avoir suivi des cours de dessin et d’anatomie animale de Barye et avoir eu comme condisciple le fils du sculpteur animalier, Alfred.
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Camille Rogier (1810-1896), peintre et illustrateur. Il semble qu’il ait commandé une paire de flambeaux en bronze à Barye.
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Nicolaï Aleksandrovitch Romanov dit Nicolas II (1868-1918), empereur de Russie de 1896 à 1917. Dans une lettre à Barye, Fauconnier l’encourage à venir à Saint-Pétersbourg, en Russie, pour participer au projet de construction de la cathédrale Saint-Isaac, cathédrale orthodoxe bâtie entre 1818 et 1858. Le concours pour sa construction est remporté par l’architecte français Auguste Ricard de Montferrand. Le sculpteur Henri Lemaire réalise des bas-reliefs pour le monument, dont l’empereur n’est apparemment pas satisfait. Barye ne s’est finalement pas rendu en Russie.
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Camille Roqueplan (1803-1855), peintre.
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Paul Rosenberg (1881-1959), marchand d’art et galeriste. En mai-juin 1931, il organise une exposition des grands maîtres du xixe siècle, dans laquelle il expose des œuvres de Barye.
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Betty von Rothschild (1805-1886), baronne de Rothschild, mécène, philanthrope et salonnière. D’après une liste chronologique de la correspondance de Barye, elle écrit au sculpteur en 1833, en s’excusant de ne pas pouvoir se rendre à son atelier de la rue des Noyers.
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Jacob alias James Mayer, baron de de Rothschild (1792-1868), banquier et fondateur de la branche parisienne de la famille Rothschild. Oncle de Betty de Rothschild, il l’épouse en 1824. Homme cultivé, mécène et amateur d’art, il fait l’acquisition de bronzes d’ameublement, une paire de candélabres, placée au château de Ferrières, l’une de ses propriétés.
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Théodore Rousseau (1812-1867), peintre paysagiste, cofondateur de l’école de Barbizon. Lorsque Barye fréquente le groupe, il rejoint Millet, Díaz, Corot, Dupré et Daubigny, qui se rejoignent chez Rousseau.
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Joseph Prosper Roussel (1813-1868), ébéniste, marchand et propriétaire d’un magasin d’ameublement d’art situé à Paris. Son nom apparaît dans une balance de comptes de Barye, en octobre 1847.
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Antony Roux (1833-1913), amateur d’art et collectionneur. Il apprécie les œuvres d’Auguste Rodin et possède également quelques sculptures de Barye dans sa collection.
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François Rude (1784-1855), sculpteur.
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Louis Sarlin (?-vers 1918), collectionneur. Il possède notamment un chenet de cheminée réalisé par Barye, représentant une tigresse tenant un ourson dans sa gueule.
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Charles Saunier (1865-1941), homme de lettres et bibliothécaire. Fils du portraitiste Charles Marie Félix Saunier, il est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment d’une monographie sur Barye publiée dans la collection « Les Maîtres de l’art moderne ».
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Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha (1818-1881), prince de la maison de Saxe-Cobourg et membre de la chambre des seigneurs de Hongrie. Gendre de Louis-Philippe par son mariage avec la princesse Clémentine d’Orléans, il achète directement à Barye un Cerf terrassé par deux lévriers d’Ecosse exposé au salon de 1832.
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Louis Henri Georges Scellier de Gisors (1844-1905), architecte. Également collectionneur, il possède un bronze de Barye, Cerf qui marche, que ce dernier avait initialement donné au peintre Jules Dupré.
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André Schoeller (1879-1955), expert, marchand de tableaux. Il débute comme secrétaire à la galerie Georges Petit, vers 1902-1903, dont il devient le sous-directeur, puis le directeur après la guerre. Il quitte la galerie en 1930. Il continue à être expert dans les ventes publiques de 1927 à 1952. La correspondance de Barye conservée à l’INHA a progressivement été vendue par la petite-fille du sculpteur à un seul collectionneur (Gustave Pellet). Cet ensemble a été ensuite conservé puis transmis par André Schoeller. Voir l’article de Justine Gain de la présente édition, « À l’ombre des bronzes. Itinéraire des “papiers Barye” (1830-2019) ».
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Victor Schœlcher (1804-1893), journaliste et homme politique. Il écrit sur Barye, dont il admirait l’œuvre, comme en témoigne sa réaction devant le Tigre dévorant un gavial, publiée dans la revue L’Artiste « De quel génie ne faut-il pas être doué pour animer à ce point deux ou trois sacs de plâtre ! ».
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Alfred Sensier (1815-1877), marchand, critique et historien d’art. Attaché à l’école de Barbizon, il côtoie Jules Dupré, Jean-François Millet, Narcisse Díaz de la Pena et Barye.
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Bernard Gabriel Seurre (1795-1867), sculpteur. Dans une lettre de 1873, Émile Signol, peintre et membre de l’Académie, rappelle à Barye que l’usage requière la rédaction d’une notice biographique sur l’ancien titulaire de son siège à l’Institut, Bernard Seurre. Par ailleurs, Seurre participe de 1833 à 1836 à la décoration de l’Arc de Triomphe de la place de l’Étoile, il dessine même un projet pour son couronnement, tout comme Barye.
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Auguste Sichel (1838-1886), marchand d’art. Il possède plusieurs œuvres de Barye. Sa collection de bronzes de Barye fut dispersée en 1886.
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Émile Signol (1804-1892), peintre. Second prix de Rome en 1829, il est élu membre de l’Académie des beaux-arts en 1860 puis en sera plus tard le président. En cette qualité, il écrit à Barye en 1873 pour lui rappeler qu’il doit rédiger une notice sur son prédécesseur, Bernard-Gabriel Seurre.
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Théophile Silvestre (1823-1876), critique et historien de l’art. En 1852, il commence son œuvre la plus célèbre, une Histoire des artistes vivants français et étrangers, composée de portraits d’artistes et de reproductions photographiques. Il en consacre un numéro à Barye. Les deux hommes doivent être liés par une amitié et une certaine confiance puisque Barye nomme Silvestre comme mandataire pour signer à sa place les documents relatifs à la cessation de son association avec Émile Martin.
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Félix Solar (1811-1870), homme de presse et financier. Il est aussi un grand bibliophile et collectionneur d’autographes. Trois lettres d’Eugène Delacroix à Barye en 1857 mentionnent des plans relatifs à une bibliothèque pour Solar. Ce dernier avait peut-être demandé aux deux artistes de concevoir et de décorer sa bibliothèque.
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Albert Soubies (1846-1918), critique et historien de la musique. Dans Les membres de l’Académie des beaux-arts depuis la fondation de l’Institut, il rédige une notice sur Barye.
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Charles Séchan (1803-1874), peintre et décorateur de théâtre. Il semble faire office d’entremetteur entre Barye et l’une de ses clientes, Fanny Pereire, pour qui il réalise une pendule et des candélabres.
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Louis-Constant Sévin (1821-1888), sculpteur, ornemaniste. Comme Barye, il collabore beaucoup avec la maison Barbedienne.
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Auguste Tabourier (1822-1898), collectionneur. Il possède notamment un Tigre royal couché par Barye.
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Tamisier
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Tamisier, ciseleur. Au sortir du régiment du génie en 1821, Barye réalise une soixantaine de modèles d’animaux non signés que Tamisier cisèle. À cette époque, tous deux travaillent pour Jacques-Henry Fauconnier, qui expose les modèles en 1823.
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Isidore Taylor, baron (1789-1879), dramaturge et philanthrope. Concerné par la détresse de certains artistes, il crée plusieurs associations dont la Société des artistes peintres, sculpteurs, architectes, graveurs et dessinateurs en 1844. Il écrit à Barye en 1849 pour lui demander de faire couler par ses fondeurs deux bronzes exécutés par Émile-Coriolan Guillemin.
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Adolphe Thiers (1797-1877), avocat, journaliste et homme d’État. Il est président de la République, chef du pouvoir exécutif, député et ministre à plusieurs reprises. Il est notamment ministre de l’Intérieur dans les années 1830 et ministre du Commerce et des Travaux publics. C’est sur sa proposition que Barye est nommé chevalier de la Légion d’Honneur. Il s’entretient avec le sculpteur au sujet des statues de la colonne de Juillet et il convie à plusieurs reprises Barye à se rendre à des soirées officielles.
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Victor Thiébaut (1823-1888), fondateur de la fonderie Thiébaut Frères. Créée en 1844, elle est l’une des plus importantes fonderies d’art en France au xixe et au xxe siècle. Dans une lettre du 16 février 1865, Eugène Viollet-le-Duc écrit à Barye au sujet de la statue équestre de Napoléon Ier, destinée à Ajaccio. Thiébaut est alors en charge des bronzes. Dans une lettre, Viollet-le-Duc demande à Barye des informations sur ses patines afin de les indiquer par la suite au fondeur.
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Gabriel-Jules Thomas (1824-1905), sculpteur. C’est lui qui rédige la notice sur Barye pour l’Académie des beaux-arts. Cette tâche lui incombe en tant que successeur de Barye à l’Institut.
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Georges Thomy-Thierry (1823-1902), collectionneur d’art. Il possède plusieurs œuvres de Barye dont un Jaguar couché tenant une tête de cheval.
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Théophile Thoré-Bürger (1807-1869), journaliste et critique d’art. Il fait partie des clients privés de Barye.
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Charles Tillot (1825-1906), peintre, collectionneur et critique d’art. Élève de Théodore Rousseau, il rejoint l’école de Barbizon que Barye a longtemps fréquentée.
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Nicolas-Pierre Tiolier (1784-1843), sculpteur, médailleur et graveur général des monnaies. En 1835, il écrit à Barye en 1835 pour lui demander l’adresse de son tailleur pour se procurer la même robe de chambre que Barye. Ce type d’échange, anecdotique et personnel, apporte un éclairage plus intime sur la vie au xixe siècle.
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Jacques Dominique Tougard de Boismilon (1795-1871), précepteur de Ferdinand-Philippe d’Orléans. Il est cité dans une lettre d’Adolphe Asseline, conseiller royal, qui entre en 1828 dans l’administration du duc d’Orléans. Barye réalise plusieurs œuvres pour le prince royal.
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Jean Tournois-Maubert, chef de la division des beaux-arts. En 1868, il écrit à Barye au sujet d’une remise de médailles pour sa participation au jury du groupe des beaux-arts, lors de l’Exposition universelle de 1867.
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Armand Toussaint (1806-1862), sculpteur. Il est professeur à l’École des beaux-arts et il est nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1852.
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Trimolet
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Louis Joseph Trimolet (1812-1843), peintre, lithographe, graveur et dessinateur. Il est recensé dans une liste de prix et d’œuvres exposées à Marseille, le 15 octobre 1846.
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Jules Simon Troubat (1836-1914), littérateur. Dans une lettre du 24 octobre 1874, le fils de Barye écrit au collectionneur Alfred Bruyas au sujet de son père, retiré à la campagne, lui précisant qu’il lui remettra bien l’article écrit par Troubat.
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Constant Troyon (1810-1865), peintre. Comme Barye et d’autres artistes animaliers, il a réalisé des dessins pour l’ouvrage d’Émile Baudement, Les Races bovines au concours universel agricole de Paris en 1856.
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Léopold Turck (1797-1887), médecin, professeur et homme politique. En 1860, il publie la Médecine populaire ou comment administrer les premiers soins à un blessé ou un malade avant l’arrivée du médecin. Le titre de cet ouvrage est annoté au dos d’une lettre adressée par Ange Louis Guillaume Lesourd de Beauregard à Barye. Il s’agit peut-être d’un mémorandum écrit par l’un des deux hommes.
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Auguste Vacquerie (1819-1895), poète, dramaturge, photographe et journaliste. Son nom est mentionné dans la vente après décès de Barye, où il pourrait avoir fait l’acquisition d’un bronze du sculpteur qui représente une panthère.
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Vaillant
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Dans la lettre qu’écrit Fauconnier à Barye au sujet du chantier de construction de la cathédrale Saint-Isaac à Saint-Pétersbourg, le nom de Vaillant est mentionné plusieurs fois. Cette personne semble jouer le rôle d’intermédiaire entre les autorités russes et les artistes français qui participent au projet.
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Adolphe Ferdinand Joseph van Soust de Borckenfeldt (1824-1877), un écrivain et historien de l’art belge. Il est secrétaire de la Société belge des aquarellistes, qui expose des œuvres peintes de Barye et le nomme membre honoraire en 1862.
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Gérard van Spaendonck (1746-1822), peintre et graveur néerlandais installé en France. Il est spécialisé en peinture de fleurs. Il obtient en 1793 la chaire d’iconographie naturelle au Museum national d’histoire naturelle, dont il créé l’emblème la même année. Il est cité par Ange-Louis-Guillaume Lesourd de Beauregard qui écrit à Barye en 1862 pour dénoncer la condition de plus en plus précaire des enseignants au sein de l’institution (baisse de salaires entre autres).
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Adriaen Van de Velde (1636-1672), peintre, aquafortiste et sculpteur néerlandais connu pour ses représentations d’animaux.
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Vanderdonckt est le nom d’un marchand de tableaux bruxellois qui possède une aquarelle de Barye représentant un lion. Cette aquarelle a vraisemblablement été exposée par la Société belge des aquarellistes, dont Barye avait été fait membre honoraire.
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André Vauthier-Galle (1818-1899), sculpteur et médailleur. Il se forme à l’École des beaux-arts et reçoit le premier grand prix de Rome en 1839.
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Henri Vever (1854-1954) est un joaillier, écrivain et collectionneur d’art, lié au courant de l’Art nouveau. Il semble avoir possédé au moins une œuvre de Barye, Hercule et le sanglier.
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Vial
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Plusieurs œuvres de Barye semblent avoir fait partie de la collection Vial, notamment un Paysan du Moyen Âge en bronze et une chimère destinée à orner des candélabres.
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Charles Viguier, amateur d’art et collectionneur. Il possède quelques œuvres de Barye, notamment un Tigre au repos.
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Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), architecte. Il est principalement connu pour ses restaurations d’édifices médiévaux et religieux. Il fait l’intermédiaire entre Barye et Napoléon III au moment de la commande du monument commémoratif à Napoléon Ier et ses frères, destiné à la ville d’Ajaccio.
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Eugène Véron (1825-1889), philosophe, écrivain et critique d’art. Il est le secrétaire du comité Barye, formé après la mort de l’artiste. Dans l’optique d’une exposition posthume, Eugène Véron écrit au mécène Alfred Bruyas pour lui demander de prêter des œuvres.
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Jacques Zoubaloff (1876-1941), collectionneur russe. Il fait plusieurs dons de peintures et de sculptures aux musées de France à partir des années 1910. Il possède un grand nombre d’œuvres de Barye, ses dons ont contribué à l’ouverture de la salle Barye au Louvre en janvier 1913.
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L’agence Giraudon est une maison d’édition photographique spécialisée dans l’art, l’histoire et la photographie. Elle est fondée en 1877 par Adolphe Giraudon (1849-1929) et se situe au 15 rue Bonaparte, à Paris. Certaines photographies d’œuvres de Barye ont été prises par l’agence Giraudon.
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L’Agence des bateaux à vapeur est une agence de transport maritime qui opère notamment le voyage entre le continent européen et l’Amérique du nord, comme en témoigne une lettre du 31 décembre 1847 envoyée à Barye.
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L’imprimerie Barousse est une société spécialisée dans la lithographie, fondée au XIXe siècle et située rue du Commerce à Paris.
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La maison Beillet est un imprimeur fabricant, situé à Paris. Cette entreprise a fourni à Barye du papier à en-tête avec son nom et le lieu du dépôt de ses bronzes, quai des Célestins à Paris.
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Aubert & Cie est une maison d’édition d’estampes fondée par Gabriel et Marie Aubert avec Charles Philipon, demi-frère de cette dernière. Le directeur de La Caricature et du Charivari était le possesseur d’un bronze de Barye, comme en atteste une lettre de 1850.
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Barye & Cie est la société née de l’association entre le sculpteur et l’ingénieur Émile Martin (1794-1871), qui assura la diffusion des œuvres de l’artiste entre 1845 et 1857. Le contrat par lequel était lié les deux hommes donnait grandes latitudes à Martin et dépossédait Barye de la majorité de ses prérogatives en tant que créateur, circonstances qui l’amenèrent à rompre le contrat, Martin conservant malgré tout les droits sur les bronzes mais Barye pouvant récupérer ses modèles.
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La maison Besse & Cie est une entreprise d’édition de bronzes, située rue de Choiseul à Paris. Elle a été un lieu de dépôt des bronzes de Barye.
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Lemercier, Bénard et Compagnie est une imprimerie fondée en 1837 qui a notamment imprimé des catalogues d’œuvres de Barye.
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À la mort de Barye en 1875, un comité se forme afin d’organiser une exposition rétrospective posthume de ses œuvres à l’École des beaux-arts. Ce comité est dirigé par le directeur de l’institution, l’artiste Eugène Guillaume (1822-1905).
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Avant d’être supprimée au XXe siècle et remplacé par le Conseil de Paris, le Conseil municipal de Paris s’occupait de la gestion de la ville, assisté de l’État en la personne du préfet de la Seine car la ville n’était pas dotée de maire. Les séances de ce conseil étaient alors présidées par le président du conseil municipal de Paris, qui n’avait pas les pouvoirs d’exécutif local. Sous la Monarchie de Juillet, c’est Louis-Edouard Besson qui préside le conseil. Il est mentionné dans une lettre d’Eugène Lami à Barye au sujet d’une éventuelle commande pour la place de la Concorde (alors place Louis XV).
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Les carrières du Centre désigne un regroupement de carrières rocheuses qui sont exploitées dans la région du Centre Val-de-Loire, en France.
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Issus d’une grande famille d’imprimeurs et d’éditeurs, Firmin et François-Ambroise Didot fondent la société Firmin Didot Frères en 1827, qui devient une des imprimeries françaises les plus importantes. Son siège se trouve au cœur du quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris.
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Créée en 1875 par Ernest Flammarion (1846-1936), Flammarion est une maison d’édition généraliste qui publie aussi bien de la littérature que des ouvrages de sciences, de philosophie ou d’histoire.
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Isidore Justin Séverin Taylor (1798-1879), dramaturge et fondateur de l’association des artistes peintres, sculpteurs, architectes, graveurs et dessinateurs, a correspondu avec Barye en 1849 à propos de la fonte de petits bronzes qu’il souhaitait faire exécuter par l’un de ses fondeurs.
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L’atelier des moulages du Louvre est créé en 1795, dans le contexte postrévolutionnaire. Barye est nommé conservateur de la galerie des Plâtres et de l’atelier en 1848. Il occupe ce poste durant deux années.
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Ouverte en 1881 rue Godot-de-Mauroy à Paris, la galerie Georges Petit va progressivement s’imposer comme une des plus importantes galeries d’art de la capitale, aux côtés de celle de Paul Durand-Ruel. Georges Petit (1856-1920), en marchand d’art avisé, va exposer aussi bien des artistes tenants de l’art officiel que des modernistes tels que les impressionnistes et les postimpressionnistes. Plusieurs ventes d’œuvres de Barye ont été organisées à la galerie Georges Petit.
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L’imprimerie Cosson est une entreprise d’imprimerie-lithographie située rue Dauphine à Paris.
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L’imprimerie J. Rigal et Cie est fondée à Paris en 1869 et se situe au 56, passage du Caire.
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Le Palais Mazarin désigne l’actuel siège de l’Institut de France, qui regroupe cinq académies : l’Académie française (créée par Richelieu en 1635), l’Académie des inscriptions et belles-lettres (fondée en 1663 par Colbert), l’Académie des sciences (1666), l’Académie des Beaux-Arts (héritière de l’Académie royale de peinture et de sculpture, elle est créée en 1816) et l’Académie des sciences morales et politiques (1832). On doit l’existence du bâtiment au cardinal Mazarin (1602-1661) qui souhaitait l’édification d’un collège destiné à l’éducation des jeunes gens issus de la noblesse, le Collège des Quatre-Nations. C’est l’empereur Napoléon, en 1805, qui transforme l’ancien collège en Institut de France. Dans une lettre datée de 1868, le sculpteur Aimé Millet félicite Barye pour son entrée au « Palais Mazarin » : il fait référence à l’élection de son collègue et ami à l’Institut cette même année.
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L’École agronomique de Versailles est créée en 1848 et installée dans les grandes écuries du château. Elle participe de la volonté du gouvernement de la Deuxième République de proposer une formation publique aux métiers de la terre. Barye y est nommé professeur de dessin en 1859 mais son poste est supprimé quelques années plus tard. L’institut déménage en 1882 pour s’installer dans les anciens bâtiments de l’École supérieure de pharmacie, avenue de l’Observatoire.
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L’Institut national agronomique est une école d’agriculture fondée en 1848 à Versailles. Barye y est nommé professeur de dessin d’histoire naturelle et de modelage au mois de novembre 1850 par décision ministérielle.
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La Romance est un journal musical hebdomadaire qui paraît en France dans les années 1830.
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Le Bulletin des arts est un périodique mensuel à destination des amateurs d’art publié de 1845 à 1848 et créé par Paul Lacroix (1806-1884). Il a notamment été dirigé par Théophile Thoré (1807-1869), journaliste et critique d’art, qui a correspondu avec Barye.
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Le Matin est un journal quotidien français créé en 1883.
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Au milieu du XIXe siècle, Paris devient la capitale des bronzes d’art et de la statuaire d’édition et la maison Barbedienne est l’un des noms emblématiques de cette industrie nouvelle. Ferdinand Barbedienne (1810-1892) inaugure la fonderie en 1839. Commerçant et industriel avisé, il s’associe à Achille Collas (1795-1859), inventeur d’un procédé de réduction pour objets et statues. Leurs contrats avec les sculpteurs les plus renommés de l’époque et l’engouement de la bourgeoisie pour la décoration de ses intérieurs entraînent le succès de l’entreprise. À la mort de Ferdinand, son neveu Gustave Leblanc-Barbedienne (1849-1945) reprend la fonderie. Ce dernier ne dispose pas du même esprit pratique et visionnaire que son oncle et la fonderie, qui amorce déjà un déclin, est moins florissante qu’auparavant. C’est Jules Leblanc-Barbedienne (1882-1961), le fils de Gustave qui hérite ensuite de l’entreprise familiale, qui ferme définitivement en 1954.
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La Maison Belloir et Vazelle est une entreprise de tapisserie et de décoration, située à Paris. Elle est créée en 1820 et demeure active durant tout le XIXe siècle. Elle produit notamment des décors pour de grandes manifestations publiques. Elle est sollicitée en 1875 pour l’exposition posthume des œuvres de Barye.
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La maison Brame et Lorenceau, historiquement située rue Taitbout à Paris, est l’une des plus anciennes galeries d’art de la capitale. Elle est fondée par Hector Brame et Jean Lorenceau en 1864 et se spécialise dans la peinture, le dessin et la sculpture et acquiert notamment des œuvres de Barye.
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La maison Morris est une imprimerie spécialisée dans la typographie et la lithographie ainsi que dans les affiches de spectacles. Elle est fondée en 1853 par Richard James Placide Morris. Son fils, Gabriel Morris, entre dans la société dans les années 1860, qui est alors rebaptisée « Typographie Morris père et fils ». En 1868 ils proposent au baron Haussmann d’équiper la ville de Paris de colonnes publicitaires dédiées à l’affichage des spectacles. Ce mobilier urbain, appelé originellement « colonne-affiches », couvrira bientôt toute la capitale, devenant un mobilier urbain emblématique connu sous le nom de « colonne Morris ». Des affiches sont commandées à l’entreprise en 1875 pour l’exposition posthume des œuvres de Barye.
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La maison Dubourjal Jeune et Berthé est une entreprise de plomberie-zinguerie à laquelle Antoine-Louis Barye fit appel en 1845 pour des travaux relatifs à un poêle.
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C’est en 1870 qu’est mis en place le ministère des Lettres, sciences et beaux-arts, confié par le gouvernement d’Émile Ollivier à Maurice Louis Richard. Celui-ci n’intègre pas les musées qui demeurent sous la tutelle de la Maison de l’Empereur. Depuis la Révolution, le souci de la sauvegarde du patrimoine s’accroit : création du musée des monuments français par Alexandre Lenoir en 1795, création du musée du Louvre et apparition de l’appellation protectrice de « monument historique » grâce entre autres à Prosper Mérimée. C’est sous la Troisième République que le ministère gagne en prérogatives et en importance. Léon Gambetta nomme à sa tête Antonin Proust, qui réunit les différents services qui étaient dispersés auparavant et engage plusieurs grands chantiers de réflexion. Les gouvernements qui suivent se contentent d’un sous-secrétariat d’État aux beaux-arts dépendant du ministère de l’Instruction publique. Malgré les revendications du Front Populaire dans les années 1930, il faudra attendre la fin de la guerre et la Libération pour voir de nouveau la création d’un ministère pleinement dédié aux beaux-arts.
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Préfiguré à la fin du XVIIIe siècle et officiellement inauguré en 1793 sous le nom de Muséum central des arts de la République, le musée du Louvre compte aujourd’hui parmi les plus grands musées du monde. Barye est lié au musée du Louvre à plusieurs égards puisqu’il fut conservateur de l’atelier des moulages et de la galerie des Plâtres de 1848 à 1850. Le musée réalise plusieurs acquisitions de ses œuvres après sa mort en 1876.
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Le premier musée du Luxembourg ouvre au public en 1750 afin d’exposer la « collection des tableaux du Roy ». Fermé entre 1780 et 1803, il rouvre jusqu’en 1815. C’est en 1818 que Louis XVIII décide d’en faire un musée des artistes vivants : les grands artistes du siècle y sont exposés et notamment des œuvres de Barye, comme le Jaguar dévorant un lièvre.
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Auparavant placée sous la tutelle du ministère de l’Intérieur, la direction des Musées nationaux devient en 1870 un service extérieur de l’administration des beaux-arts, qui dépend du ministère de l’Instruction publique. Elle a pour mission de gérer les musées d’État.
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L’ordre de Saint Michel est un ordre de chevalerie fondé au XVe siècle par Louis XI. Ses membres, au nombre de trente-six, prêtaient serment au roi et le siège de l’ordre se trouvait à l’abbaye du Mont-Saint-Michel. Fondé en réplique à l’ordre bourguignon de la Toison d’Or, son insigne est un collier d’or arborant entre autres des coquilles saint Jacques et saint Michel terrassant le Dragon. Il cesse d’être attribué à partir de 1830, tout comme l’ordre du Saint-Esprit, l’ordre de la Légion d’honneur restant le seul ordre national remis.
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En 1850, Barye est nommé professeur de dessin d’histoire naturelle et de modelage à l’Institut agronomique de Versailles. La décision, prise à la suite d’un décret présidentiel, lui est notifiée sur un papier à en-tête du département de la Seine-et-Oise, devenu depuis les Yvelines.
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La préfecture de la Seine, aujourd’hui préfecture de Paris, a la charge de la gestion de la région parisienne. Barye est notamment invité à une soirée dansante à l’Hôtel de Ville le 10 décembre 1850.
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Renou et Maulde est une imprimerie en service de 1836 à 1866. Elle naît suite à l’association de deux imprimeurs-lithographes, Théophile Renou (1805-?) et Charles Maulde (1796-?). Ce dernier rachète une imprimerie typographique et obtient son brevet d’imprimeur en 1836 avant de s’associer. L’imprimerie Renou et Maulde sera l’une des grandes imprimeries parisiennes en lettres : elle publie de nombreux textes dans différentes langues et travaille notamment avec les Chemins de fer du Nord.
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La Société artésienne des amis des arts est l’une des nombreuses sociétés du même type, la première étant née sous l’impulsion de Charles de Wailly en 1789, vouée à l’encouragement des beaux-arts. Elles se développent aux XIXe et au XXe siècles sur tout le territoire français et travaillent avec les collectivités et les musées. Barye avait été nommé membre de cette société, comme en atteste une lettre de son président, Charles Desavary-Dutilleux, du 24 mars 1862.
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La Société royale belge des aquarellistes est une association fondée en 1856 à Bruxelles, avec pour objectif principal de réaliser des expositions annuelles. Chaque année, des membres honoraires non belges sont nommés, dont Barye en 1862.
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Le Théâtre français ou « Français » est le nom parfois donné à la Comédie-Française, fondée en 1680. Il s’agit de la réunion par ordre du Roi de la troupe du Maris et de la troupe du Palais-Royal, celle de Molière, en un seul et même ensemble. Institution phare de la capitale, elle s’impose comme le théâtre national garant du répertoire classique et sera au XIXe siècle le siège d’événements historiques comme la bataille d’Hernani en 1830. Dans une lettre d’Achille Ricourt (1797 ?-1875) à Barye datée de 1834, il est fait mention du directeur du Français, qui était alors Armand-François Jouslin de la Salle (1797-1863).
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The St Catherine Press est une imprimerie localisée à Bruges en Belgique, fondée par Edouard Verbeke (1881-1953). Elle doit son nom au choix opéré par son fondateur pour s’implanter dans la ville : les environs de la Porte Sainte-Catherine. Verbeke imprimait en néerlandais, anglais et français.
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Licencié en droit, Henri Laurens (1861-1933) achète en 1885 la librairie Renouard et crée les éditions Henri Laurens. Il est notamment connu pour la création de collections de vulgarisation artistique, notamment : « Grands artistes », « Les Villes d’art célèbres », « Musiciens célèbres » et « Grandes Institutions de France ». Il a reçu plusieurs récompenses lors d’expositions internationales (dont une médaille d’or à l’Exposition universelle de 1900 et le grand prix des arts décoratifs de l’Exposition internationale de Milan en 1906). Il est fait chevalier de la Légion d’honneur en 1908. Il édite notamment l’ouvrage d’Henri Bouilhet, L’Orfèvrerie française aux XVIII et XIXe siècles, dans lequel il est question de Fauconnier, pour qui Barye travailla dans sa jeunesse.
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Au mois de septembre 1838, le ministre de l’Intérieur Marthe-Camille de Montalivet confie à Eugène Delacroix la décoration de la Bibliothèque de l’Assemblée nationale. Dans chacune des cinq coupoles, il rend hommage à une discipline : la Législation, la Théologie, la Poésie, la Philosophie et les Sciences. Dans un billet, Delacroix rédige un laisser-passer à l’intention de Jacques-Edouard Gatteaux, sculpteur et médailleur, pour venir voir les peintures. Delacroix et Barye étaient par ailleurs très liés.
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Le Palais Mazarin désigne l’actuel siège de l’Institut de France, qui regroupe cinq académies : l’Académie française (créée par Richelieu en 1635), l’Académie des inscriptions et belles-lettres (fondée en 1663 par Colbert), l’Académie des sciences (1666), l’Académie des Beaux-Arts (héritière de l’Académie royale de peinture et de sculpture, elle est créée en 1816) et l’Académie des sciences morales et politiques (1832). On doit l’existence du bâtiment au cardinal Mazarin (1602-1661) qui souhaitait l’édification d’un collège destiné à l’éducation des jeunes gens issus de la noblesse, le Collège des Quatre-Nations. C’est l’empereur Napoléon, en 1805, qui transforme l’ancien collège en Institut de France. Dans une lettre datée de 1868, le sculpteur Aimé Millet félicite Barye pour son entrée au « Palais Mazarin » : il fait référence à l’élection de son collègue et ami à l’Institut cette même année.
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Préfiguré à la fin du XVIIIe siècle et officiellement inauguré en 1793 sous le nom de Muséum central des arts de la République, le musée du Louvre compte aujourd’hui parmi les plus grands musées du monde. Barye est lié au musée du Louvre à plusieurs égards puisqu’il fut conservateur de l’atelier des moulages et de la galerie des Plâtres de 1848 à 1850. Le musée réalise plusieurs acquisitions de ses œuvres après sa mort en 1876.
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Du 17 janvier 1913 au 17 février 1913 a lieu la seconde exposition des Artistes animaliers à la Galerie La Boétie, à Paris, créée en 1912 sous le patronage d’Armand Dayot. Ouverte avec le soutien du ministre de l’Instruction Publique et du sous-secrétaire d’État aux Beaux-Arts, elle réunit les travaux de divers artistes animaliers – peintres, sculpteurs ou graveurs – français comme étrangers à l’initiative de la revue L’Art et les artistes. Quelques peintures et aquarelles de Barye sont exposées pour l’occasion. Parmi les aquarelles figure un Tigre royal couché, mentionné sous le numéro 77 de la Copie dactylographiée et annotée d’une vente d’œuvres d’Antoine-Louis Barye de 1875 (166/1/4/2/4).
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Du 18 mai au 10 juin 1908, la galerie Georges Petit, alors située au 8 rue de Sèze, organise l’Exposition de cent pastels du XVIIIe siècle au profit de la Croix-Rouge française. Un carton d’invitation à cette exposition est conservé dans le fonds (166/1/5/1/1/16).
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Aux mois de mai et juin 1931 se tient à la galerie Rosenberg à Paris l’Exposition de grands maîtres du XIXe siècle. Lors de cette exposition est exposée une huile sur toile de Barye : Tigre au repos, numéro 64 de la Copie dactylographiée et annotée d’une vente d’œuvres d’Antoine-Louis Barye de 1875 (166/1/4/2/4).
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La Société royale belge des aquarellistes organise plusieurs expositions à Bruxelles jusque dans les années 1880, notamment en 1862. Une aquarelle de Barye représentant un lion et propriété de M. Vanderdonckt est mise à disposition de la Société. C’est à cette occasion que l’organisation entre en contact avec Barye et lui propose de devenir l’un de ses membres (166/1/2/105).
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Du 2 au 31 mai 1910, Mme la marquise de Ganay organise l’Exposition de chefs-d’œuvre de l’École française : vingt peintres du XIXe siècle à la galerie Georges Petit. L’huile sur toile Tigre au repos de Barye, mentionnée dans la Copie dactylographiée et annotée d’une vente d’œuvres d’Antoine-Louis Barye de 1875, est présentée lors de cette exposition.
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Du 15 juin au 5 juillet 1929, une exposition des peintures, aquarelles et dessins de Barye est organisée à la galerie Dru, à Paris. L’avant-propos du catalogue est rédigé par le critique Claude Roger-Marx. Le Tigre au repos, huile sur toile de Barye, mentionnée dans la Copie dactylographiée et annotée d’une vente d’œuvres d’Antoine-Louis Barye de 1875 est présentée lors de cette exposition.
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Après la mort de Barye, le 25 juin 1875, une exposition lui est consacrée à l’école des Beaux-arts à partir de novembre de la même année, dont on conserve un catalogue préfacé par Antoine Genevay. Une seconde exposition, visant également à réunir l’œuvre de Barye, aura lieu au même endroit en 1889.
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Entre le 1er avril et le 3 novembre 1867 se tient à Paris une nouvelle Exposition universelle. À cette occasion, la maison Barbedienne est mise hors concours puisqu’elle est membre rapporteur du jury. Barye obtient la grande médaille d’or, sûrement en remerciement de sa participation au jury français du groupe des beaux-arts, une lettre du chef de la division des beaux-arts, Jean Tournois-Maubert, en informe Barye en 1868 (166/1/2/109).
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Du 5 mai au 31 octobre 1889 se tient une nouvelle édition de l’Exposition universelle à Paris. La galerie Georges Petit obtient une médaille d’or qui figure désormais sur ses papiers à en-tête (166/1/5/1/2/1).
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L’Exposition universelle de Vienne a lieu du 1er mai au 31 octobre 1873. À cette occasion, Barbedienne obtient plusieurs récompenses : deux diplômes d’honneur et une médaille de progrès.
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880.
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. Le Salon de 1827 marque, selon le Discours de M. le vicomte Delaborde (166/1/1/8) prononcé aux funérailles de M. Barye, les débuts prometteurs de l’artiste avec la présentation de bustes ainsi qu’un cadre de médailles modelées.
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. Lors du Salon de 1831, Barye expose Un tigre dévorant un crocodile, un des premiers succès du sculpteur, selon le Discours de M. le vicomte Delaborde (166/1/1/8), prononcé aux funérailles de M. Barye.
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. Lors du Salon de 1832, Barye expose Cerf terrassé par deux lévriers d’Écosse (166/1/4/2/4). À cette occasion, il obtient une médaille de seconde classe évoquée dans une lettre de Barye (166/1/5/3/7/1).
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. À la suite du salon de 1833, où Barye expose une quinzaine de sculptures et aquarelles, il devient chevalier de la Légion d’honneur. Il est fait allusion à cette « croix d’honneur » dans une coupure de presse du fonds (166/1/5/3/7/1) et également dans Document biographique sur Antoine-Louis Barye, avec croquis au verso (166/1/1/1).
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. En 1834, Barye y expose 8 bronzes, notamment un Éléphant (166/1/4/2/4), mais aussi quelques aquarelles.
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. Barye y expose notamment un Jésus-Christ au jardin des Oliviers (166/1/5/4/2).
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. Le catalogue du Salon de 1850 est mentionné dans les Notes de lecture dactylographiées autour d’Antoine-Louis Barye (166/1/5/3/6/1).
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. En 1852, Barye y expose un bronze, un Jaguar dévorant un lièvre.
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Le Salon de peinture et de sculpture a lieu à Paris de la fin du XVIIe siècle à 1880. Lors du Salon de 1859, Adolphe Fumière reçoit une récompense certainement pour La jeune mère adoptive qu’il évoque dans une lettre à Barye du 10 juillet 1862 (166/1/2/51).
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Du 10 au 15 décembre 1877, à la suite du décès d’Alfred Sensier, le 7 janvier de la même année, est organisée une vente aux enchères de sa collection à l’Hôtel Drouot, assurée par le commissaire-priseur Charles Pillet qui s’est également chargé de la succession de Barye. Le catalogue de cette vente mentionne plusieurs aquarelles, également mentionnées dans le Fascicule avec des notes sur les ventes Diaz (janvier 1877), Ferdinand Barbedienne (avril 1879), de Knijff (1877) et Sensier (1877), sur du papier à en-tête des Galeries Georges Petit, n. d. (166/1/5/1/1/13) : un Tigre royal vendu 960 francs à Mayer, un Cerf traversant la plaine vendu 410 francs à Sensier et une Biche aux écoutes vendue 215 francs à un certain Tedesco, dont les numéros correspondent à ceux du catalogue.
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Alfred de Knyff, peintre belge, a amassé une grande collection d’œuvre d’art. Plusieurs ventes sont alors organisées dont une à Bruxelles en 1865, et une autre à l’Hôtel Drouot, à Paris, le jeudi 22 mars 1877. Lors de cette vente, plusieurs aquarelles de Barye sont mises en vente : un Tigre royal et des Grues au bord d’une marre, respectivement 620 et 82 francs, mentionnées dans le Fascicule avec des notes sur les ventes Diaz (janvier 1877), Ferdinand Barbedienne (avril 1879), de Knijff (1877) et Sensier (1877), sur du papier à en-tête des Galeries Georges Petit, n. d. (166/1/5/1/1/13). Le catalogue de cette vente répertorie également ces deux aquarelles. La vente est assurée par le commissaire-priseur Charles Pillet, également chargé de la succession de de Barye.
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Après la mort d’Antony Roux, de nombreuses œuvres de sa collection ont été mises en vente le 19 et le 20 mai 1914 à la galerie Georges Petit. Le catalogue de la vente, ainsi que la Copie dactylographiée et annotée d’une vente d’œuvres d’Antoine-Louis Barye de 1875 (166/1/4/2/4) mentionne plusieurs œuvres de Barye.
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Les pièces de la collection d’Auguste Sichel mises le 27 février 1886 sont essentiellement des œuvres de Barye. Les 84 pièces ont été répertoriées dans un catalogue préfacé par Edmond de Goncourt. Le dessin sur calque Daim terrassé par deux lévriers (166/1/6/1) porte la mention de cette vente. Il est fait mention de plusieurs autres pièces provenant de cette vente dans les archives 166.
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Le 8 avril 1873 a lieu la vente d’une collection d’aquarelle et de dessins contemporains, propriétés de Charles Binder. Le commissaire-priseur est encore une nouvelle fois Charles Pillet. Parmi les aquarelles présentées figurent plusieurs œuvres de la main de Barye, mentionnées dans le catalogue de la vente.
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Le 3 et 4 décembre 1894, suite à la faillite d’Henri Garnier, est organisée une vente à la galerie Georges Petit. Parmi les œuvres, répertoriés dans le catalogue de la vente, figurent de nombreuses œuvres de Barye. Quelques-unes figurent dans les Notes sur la vente Henri Garnier du 3 décembre 1894 (166/1/5/1/1/14).
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Henri Vever vend quelques pièces de sa collection à la Galerie Georges Petit le 1er et le 2 février 1897, parmi lesquelles des œuvres de Barye. Hercule et le sanglier est mentionné dans les Notes sur les ventes Binder, Vever, Perier, Sichel, (166/1/5/1/1/15).
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Après la mort de Narcisse Diaz de La Peña, sa collection d’œuvre d’art est mise aux enchères à l’Hôtel Drouot du 22 au 27 janvier 1877. La vente est entièrement cataloguée et le commissariat assuré par Charles Pillet, également responsable de la succession de Barye. Y figurent plusieurs œuvres de Barye également mentionnées dans le Fascicule avec des notes sur les ventes Diaz (janvier 1877), Ferdinand Barbedienne (avril 1879), de Knijff (1877) et Sensier (1877), sur du papier à en-tête des Galeries Georges Petit (166/1/5/1/1/13).
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Quelques bronzes de Barye, d’objet d’art et d’ameublement issus de la collection de Paul Perier sont vendus aux enchères le 7 avril 1908 à l’Hôtel Drouot. Les œuvres sont répertoriées dans le catalogue de vente. Quelques œuvres de Barye sont également mentionnés dans Notes sur les ventes Binder, Vever, Perier, Sichel (166/1/5/1/1/15).
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Après le décès de Barye, le 25 juin 1875, une vente de sa collection est organisée entre le 7 et le 12 février 1876, à l’Hôtel Drouot, dans le cadre de sa succession. Charles Pillet, chargé d’estimer les pièces de sa collection lors de son inventaire après décès, assure la vente aux côtés de Paul Durand-Ruel, expert. Le tout est consigné dans un catalogue publié, comportant 730 numéros.
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