p.1 Mon cher confrère et ancien camarade, Je viens réclamer de votre obligeance le petit médaillon que j'espérais trouver fait et heureusement terminé à mon retour de Normandie. Si un nouveau malheur lui est arrivé veuillez, je vous prie, m'en prévenir par un mot mis à la poste. Agréez l'expression de ma sincère et cordiale amitiéJhn du Seigneurno 16, rue de l'ouest. le 19 aout 1844 à M. Barye, statuaire